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PARIS : 

ADJACENT GALLERY : 24 rue des grands Augustins 75006 Paris. Tél : 01.89.31.09.91. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

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PARIS : 

GALERIE XII : 14 rue des Jardins Saint-Paul; 75004 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Vendredi : 14h/19h. Samedi : 12h/19h.

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PARIS : 

GALERIE L'ART ET LA MATIERE : 23 rue Saint-Louis en l'Ile.  Tél : 06.27.28.53.54. Mercredi/dimanche : 14h30/19h.

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PARIS : 

BACKLASH : 29 rue Notre-Dame de Nazareth : 75003 Paris. Mardi/Samedi : 14h/19h.

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PARIS : 

ESPACE CINKO : 12/18 Passage Choiseul, 75002 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 11h/20h.

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PARIS : 

GALERIE AFRICAINE : 21 rue Véron 75018. Tél : 06.60.24.06.26. TLJ. : 12h/19h.

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PARIS : 

GALERIE VIVIENNE : 6/8 galerie Vivienne entrée 5 rue de la Banque 75002 Paris.

**** RENE APELLEC ET HERBOT :

« Fantaisies de printemps ».

 

Exposition du 20 au 30 mars 2025.

 

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PARIS : 

LA FABULOSERIE : 52 rue Jacob, 75006 Paris. Tél : 01.42.60.84.23. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

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PARIS : 

LA GALERIE DU 19M :  2 place Skanderberg, 75019 Paris. Tél : 06.12.81.03.92. Mercredi/Vendredi : 11h/18h. Samedi, Dimanche : 11h/19h.

**** Ornementa : Atelier Montex, Goossens, Lemarié et l’atelier de Plissé Lognon, Lesage, Maison Michel, Massaro, Paloma et Studio MTX – mais également quatre artistes invités en résidence – Alix Bortoli, Marina Dellamore, Michel Jocaille et Théophile Peris – partagent leur passion et invitent le public à découvrir leurs savoir-faire exceptionnels.

 

«  la Galerie du 19M présente « Ornementa », une expérience immersive et participative qui invite toutes et tous, petits et grands, à s’initier aux savoir-faire du 19M et à explorer les coulisses de la création contemporaine et des Métiers d’art à travers différents ateliers. 

Ludique, expérimental et initiatique, « Ornementa » a été conçu en écho à un projet d’envergure mis en œuvre par le Studio MTX et les Maisons d’art résidentes du 19M, à l’occasion de la réouverture du Grand Palais à Paris après un vaste chantier de réhabilitation dont CHANEL fut l’un des principaux mécènes. Un rideau long de 15 mètres par 8 prendra place devant la grande baie vitrée séparant la Nef et la place centrale du Grand Palais, et sera dévoilé lors de l’inauguration du bâtiment en juin 2025.

En miroir de cette œuvre exceptionnelle qui a sollicité les meilleurs artisans du 19M, la Galerie invite le grand public, les scolaires, les familles et tous les amoureux ou curieux des Métiers d'art… à devenir les artisans d’un jour et concevoir un second rideau monumental en s’essayant aux savoir-faire d’exception du 19M. « Ornementa » célèbre ainsi la transmission du geste et la collaboration, piliers du projet de la Galerie du 19M depuis son ouverture en janvier 2022.

Dans un vaste décor onirique et à travers un parcours aux choix multiples, les visiteurs pourront faire l’expérience sensorielle et physique des matières brutes, des couleurs et des gestes pour créer les éléments ornementaux de ce rideau XXL.

Fidèle à sa vocation de lieu ouvert à tous, la Galerie se transformera en un terrain de jeux et de découvertes grâce à une scénographie colorée pensée par le Studio GGSV – qui a dessiné le mobilier de la Galerie et du Café du 19M. Ce décor prend vie grâce à une programmation célébrant le dialogue entre création contemporaine et Métiers d'art :

• Espaces d’expérimentation participatifs (feutrage de la laine, texturage du métal, tressage de cuir...) ;

• Installations des artistes Alix Bortoli, Marina Dellamore, Michel Jocaille et Théophile Peris ;

• Ateliers créatifs pour petits et grands animés par les artistes – détail de l’offre à venir sur le19m.com ;

• Nocturnes mensuelles.

Plus qu’un vaste atelier d'initiation aux Métiers d'art, « Ornementa » trouve sa véritable essence dans l'expérience monumentale, partagée et immersive qui résonne jusque sous la coupole du Grand Palais. » (NDLG)

 

Exposition du 13 mars au 18 mai 2025

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PARIS : 

GALERIE THUILLIER : 13 rue de Thorigny 75003 Paris. 13h/19h 

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PARIS :

LA VILLE DES ARTS GALERIE : 15 rue Hégésippe Moreau 75018 Paris. Tél : 06.83.89.81.56. Mardi/Vendredi : 15h/19h. Samedi et dimanche : 14h/18h.

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PARIS : 

L'ENTREE DES ARTISTES : 25 rue des Tournelles, 75004 Paris. Mercredi/Samedi : 14h/19h30.

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PARIS : 

LES FILLES DU CALVAIRE (GALERIE) : 17 rue des Filles du Calvaire, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 11h/18h30.

**** KARINE ROUGIER «  Jardin des souffles »

 

Faisant le constat d’un monde qui court à sa perte, Karine Rougier propose une œuvre onirique et pleine d’espoirs. Son travail manifeste les forces qui nous unissent, pour soigner notre monde. Avec détermination, l’artiste empreinte d’une liberté assumée, invite à contempler un univers où le vivant est célébré sous toutes ses formes. Les peintures et dessins d’une grande intensité narrative et symbolique, entremêlent dans une étreinte humains, animaux, minéraux et végétaux, témoins d’une nature réinventée par le champ lexical de l’artiste, dans un dialogue harmonieux. Ces formes entrelacées deviennent des lianes alchimiques, témoignages d’une recherche où la profusion des liens d’amitié et d’amour se tissent.

Loin d’être une simple rétrospective de son travail antérieur, cette exposition marque une réinvention artistique. À travers l’objectif de Hido, chaque scène devient un poème visuel, capturant la lumière d’une manière qui évoque à la fois le mystère et la clarté, la nature et la condition humaine. Chaque image est une invitation à découvrir la beauté et l’espoir dans les moments les plus simples, illuminés par un regard nouveau et empreint de poésie.

L’exposition s’articule autour de plusieurs motifs récurrents, dont le monumental cordon de têtes, sculpture en bronze, inspiré du collier de la déesse indienne Kali où chaque figure représente un démon qu’elle aurait tué. Réinterprété, ce symbole devient un hommage aux ancêtres, aux rencontres marquantes et manifeste un désir inépuisable de vivre en harmonie. Les stèles de visages et de statues menhirs, incarnés, évocateurs de la mémoire collective, renforcent cette vision d’un univers où les éléments seraient enfin porteurs de sens et de continuité. 

L’artiste peint des saynètes vibrantes de vie, où les êtres sont traversés par un vent porteur de l’urgence du renouveau. Ces fragments de formes esquissent un monde de désir, traversé par un élan vital irrésistible. Le geste de Karine Rougier, empreint d’une liberté assumée, insuffle à ses œuvres une énergie magnétique, invitant à contempler un univers où le vivant est célébré sous toutes ses formes. (NDLG)

 

Exposition du 6 ars au 19 avril 2025.

**** MAKIKO FURUICHI : « Plus un oiseau qu’un ange » 

 

« La galerie Les filles du calvaire présente le travail de l'artiste japonaise Makiko Furuichi, révélée lors de son exposition solo au salon Asia Now cet automne. Cette exposition explore notre rapport aux mondes invisibles, à travers des installations immersives, fresques et dessins sur papier à l'aquarelle. 

Ayant comme point de départ la série des Anges de 1939, que Paul Klee commence après une longue maladie et peu de temps avant sa mort, l’exposition explore l’interconnexion entre les individus, leur environnement sensoriel et la mort elle-même. Klee, qui se trouve à la frontière entre deux mondes, représente ses anges non pas comme des êtres divins, mais comme des symboles de ce passage incertain entre la vie et la mort. Le titre de l’exposition Plus un oiseau qu’un ange (More bird than angel), tiré d’un de ses dessins, invite à voir le monde à travers les esprits et la nature, où les anges et les esprits (Yokai) jouent le rôle de messagers.

La figure du Yokai, créature surnaturelle issue du folklore japonais englobant esprits, fantômes, monstres, démons et divinités mineures qui interagissent avec le monde humain, est découverte par l'artiste à travers le dessin animé Kitaro le repoussant (GeGeGe no Kitaro) de Shigeru Mizuki. Dans le travail de Makiko Furuichi, ces créatures ne se limitent pas à des éléments narratifs ou esthétiques empruntés à la tradition, mais deviennent des vecteurs d'exploration de concepts contemporains tels que l'hybridation entre l'humain et la nature, le rapport à l'invisible et la transformation. 

En choisissant l'univers des Yokai, l'artiste engage également une réflexion anthropologique sur les sociétés qui les ont créés, approfondissant ainsi notre compréhension de l'Homme. Historiquement, ces créatures étaient souvent accusées d'être responsables de phénomènes comme les épidémies ou les tremblements de terre, symbolisant la fragilité de la nature et de notre existence. À travers ces mythes, Furuichi aborde la frontière entre le vivant et l'inerte, l'altérité et la métamorphose, l'étrangeté et l'inconnu, tout en intégrant une dimension humoristique qui apporte de la légèreté dans un contexte actuel toujours plus violent.

Les anges et les Yokai ne sont pas des figures rassurantes, mais des présences mystérieuses, symbolisant la fragilité de la vie et l’invisible qui nous entoure. Ils incarnent cette frontière floue entre le vivant et l’esprit, entre le monde matériel et l’au-delà. L’exposition nous invite à réfléchir à la mort non seulement comme une séparation, mais comme une expérience commune qui modifie notre perception du monde. » (NDLG)

 

Exposition du 27 mars au 10 mai 2025

**** Makiko Furuichi : « Plus un oiseau qu'un ange »

 

« Ayant comme point de départ la série des Anges de 1939, que Paul Klee commence après une longue maladie et peu de temps avant sa mort, l’exposition explore l’interconnexion entre les individus, leur environnement sensoriel et la mort elle-même. Klee, qui se trouve à la frontière entre deux mondes, représente ses anges non pas comme des êtres divins, mais comme des symboles de ce passage incertain entre la vie et la mort. Le titre de l’exposition Plus un oiseau qu’un ange (More bird than angel), tiré d’un de ses dessins, invite à voir le monde à travers les esprits et la nature, où les anges et les esprits (Yokai) jouent le rôle de messagers.

La figure du Yokai, créature surnaturelle issue du folklore japonais englobant esprits, fantômes, monstres, démons et divinités mineures qui interagissent avec le monde humain, est découverte par l'artiste à travers le dessin animé Kitaro le repoussant (GeGeGe no Kitaro) de Shigeru Mizuki. Dans le travail de Makiko Furuichi, ces créatures ne se limitent pas à des éléments narratifs ou esthétiques empruntés à la tradition, mais deviennent des vecteurs d'exploration de concepts contemporains tels que l'hybridation entre l'humain et la nature, le rapport à l'invisible et la transformation. 

En choisissant l'univers des Yokai, l'artiste engage également une réflexion anthropologique sur les sociétés qui les ont créés, approfondissant ainsi notre compréhension de l'Homme. Historiquement, ces créatures étaient souvent accusées d'être responsables de phénomènes comme les épidémies ou les tremblements de terre, symbolisant la fragilité de la nature et de notre existence. À travers ces mythes, Furuichi aborde la frontière entre le vivant et l'inerte, l'altérité et la métamorphose, l'étrangeté et l'inconnu, tout en intégrant une dimension humoristique qui apporte de la légèreté dans un contexte actuel toujours plus violent.

Les anges et les Yokai ne sont pas des figures rassurantes, mais des présences mystérieuses, symbolisant la fragilité de la vie et l’invisible qui nous entoure. Ils incarnent cette frontière floue entre le vivant et l’esprit, entre le monde matériel et l’au-delà. L’exposition nous invite à réfléchir à la mort non seulement comme une séparation, mais comme une expérience commune qui modifie notre perception du monde." (NDLG)

 

Exposition du 27 mars au 10 mai 2025.

**** KATE MccGWIRE : « Problème »

 

« la galerie Les filles du calvaire présente une exposition de Kate MccGwire qui poursuit son exploration d'une étrange beauté. L'artiste confronte le spectateur à des contrastes subtils, parfois (plus) violents, entre esthétique attrayante et forme déconcertante. Kate MccGwire captive le regard en élaborant des motifs complexes à partir de plumes chatoyantes, comme un oiseau qui chercherait à attirer son partenaire. Les formes de MccGwire sont à la fois inquiétantes et fascinantes. Elles éveillent un mélange d'attirance sensuelle et de désir teinté de crainte.En ces temps incertains, le travail de MccGwire fait écho à notre désarroi. Ici, il y a quelque chose qui ne va pas, qui fonctionne à la fois avec et contre sa tendance innée à la perfection et à la vraisemblance. De nouveaux matériaux ont été introduits, de nouvelles techniques ont été apprises, et le résultat est un récit moins sûr, qui résiste à une interprétation facile.

La série GLITCH de « peintures-collages » occupe une place centrale dans ce thème de la perception trompeuse. Des traces denses et veloutées, réalisées avec des dépôts de carbone trouvés dans la nature, sont fragmentées puis réassemblées. Notre cerveau reconstitue instinctivement ces formes mouvantes et les relie entre elles, alors qu'elles oscillent sous nos yeux.

THROB , VIBRATE et BLISTER dupent le regard avec leurs surfaces palpitantes, comme la série SISSURE qui associe le cuir blanc froissé d'un agneau—évoquant notre intériorité viscérale—à la pureté de plumes blanches et duveteuses.

Restant fidèle à son engagement pour la réutilisation de matières et la mise en valeur des matériaux délaissés, MccGwire crée de nouvelles formes avec les œuvres THOLE , TORQUE , et VETCH : l'acajou récupéré d'une ancienne vitrine, le contreplaqué d'une caisse abandonnée et le pin d'un cadre démonté s'assemblent pour donner naissance à de nouvelles sculptures. Dans PELLUCID , MccGwire transforme les délicats résidus d'une imprimante 3D en un labyrinthe aux reflets infinis, réagençant et sublimant des matériaux destinés à l'abandon.

En bousculant subtilement l’ordre naturel, cette exposition remet en question le statu quo. MccGwire vous invite à découvrir un univers sensuel et ambigu, vous laissant perplexe sur la véritable nature de ce que vous contemplez." (NDLG)

 

Exposition du 26 avril au 21 juin 2025.

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PARIS : 

LES VERRIERES : 41 rue de Seine (Fond de cour)75006 Paris. Tél : 06.70.56.63.24./Samedi : 14h30/19h. 

NOUVEL ESPACE DEDIE AUX ARTS AFRICAINS

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PARIS : 

GALERIE ANDREHN-SCHIPTJENKO : 56 rue Chapon, 75003 Paris. Mardi/Vendredi : 11h/18h. Samedi : 13h/19h.

**** JOSÉ LEON CERILLO : 

 

La Galerie Andréhn-Schiptjenko présente une nouvelle exposition de José León Cerrillo, un artiste mexicain multidisciplinaire qui travaille un large éventail de médiums tels que l’affiche, la sculpture, l’installation ou encore la performance

José León Cerrillo travaille à partir de systèmes géométriques simples et s’intéresse à la complication et à la codification du langage et de la perception afin d’aborder les différentes manières d’appréhender l’objet par rapport à l’abstraction. Ses objets, sculptures et installations perturbent l’espace dans lequel ils sont présentés, faisant écho à l’architecture du lieu tout en la déconstruisant. » (NDLG)

 

Exposition du 21 mars au 17 mai 2025

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PARIS : 

GALERIE JOHN FERRERE : 18 rue Dauphine 75006 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Samedi : 11h/19h.

**** FRANCISCE G PINZON SAMPER 

 

« La galerie John Ferrère propose pour la première fois une exposition personnelle de Francisce G Pinzón Samper. L'exposition The Flying Patterns of DJ Soul : Part II est le prolongement d’une première exposition présentée en 2021 à New York, à la galerie Thierry Goldberg. Avec ce projet, Francisce G Pinzón Samper explore la notion de range, ce terme issu du théâtre et du cinéma qui désigne la capacité d’un acteur à incarner des personnages très différents les uns des autres. 

L’expression flying patterns évoque, pour l’artiste, l’observation des mouvements d’un être en vol à travers le temps. Une créature instinctive, qui façonne son propre chemin en fonction de sa nature et de ses apprentissages.

Le nom DJ Soul est apparu en référence au producteur du groupe Deee-Lite. En l’entendant, Francisce G Pinzón Samper a ressenti une identification immédiate à ce concept : un DJ de l’âme, ou un DJ qui joue avec les âmes. Quelqu’un capable d’assembler des fragments apparemment dissonants de lui-même et qui, par la modulation des tonalités, du tempo et des mélodies, parvient à en faire une composition harmonieuse. Son ambition est de créer des images libres, portées par une esthétique brute, instinctive, où la découverte prime. L’espace d’exposition n’est pas conçu comme un lieu de postures figées, mais comme un moment suspendu, une immersion dans un temps et un espace déterminés de création.

L’exposition est le reflet d’un processus qui s’étend de l’été 2024 au printemps 2025. Ce travail de réconciliation d’un soi fragmenté porte en lui une nécessité politique : nous sommes, tous, une multiplicité unifiée.

Our planetary culture has reached a point where we should agree on how to achieve a monoculture formed from polyculture. (No more borders). All belief systems are equal and serve the same purpose.

Cette idée se cristallise notamment dans l’association de la peinture de l’atelier d’Anne Truitt et des paysages de Valerius de Saedeleer : un dialogue entre différentes époques de l’histoire de l’art. À l’image de l’astrologie, du genre, de la religion, de l’intelligence ou de la technique, toutes les routes mènent à une seule et même réalité : l’être humain en train de se découvrir, par l’expression.(NDLG)

 

Exposition du 24 avril au 30 mai 2025

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PARIS :

GALERIE POLYSEMIE 4 rue des Guillemites, 75004 Pais. Tél : 06.07.27.25.58. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

CECILIA F

**** MARCUS McALLISTER : « Le laboratoire de l’alchimiste

 

De retour d'une série d'exposition aux USA, Marcus Mc Allister, à l'invitation de Polysémie, installe pendant un mois, son atelier Rue de Guillemites et présente ses dernières créations.

 

Exposition du 3 au 27 avril 2025

 

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 PARIS :

MAIRIE DU 1ER ARRONDISSEMENT : 4 place du Louvre, 75001 Paris. Lundi/Mercredi : 11h/17h. Jeudi : 11h/19h30. Samedi : 10h/12h30.

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PARIS : 

GALERIE PRIMA : 13 rue Notre-Dame de Nazareth, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 11h/12h et 14h/19h.

**** Gaspard Girard d'Albissin : « Un balcon en forêt »

 

Gaspard Girard d’Albissin (1988, France) peint à partir d’images trouvées : photographies anonymes, scènes de mode, instantanées extirpées d’internet. Avec cette exposition l’artiste nous replonge dans un blog des années 2000 ou un album photo. Ces fragments (main couverte de bagues clinquantes, chemisier rose en satin, perruche domestique, paire de santiags) détachés de leur contexte d’origine, sont recadrés, saturés de lumière et minutieusement retravaillés. La lumière artificielle est centrale, elle accroche les matières jusqu’à l’irréel. Un balcon en forêt, c’est un refuge, un temps suspendu. Ce n’est pas l’événement qui compte, mais l’attente, la concentration, ce qui imprègne silencieusement la mémoire. Dans son atelier, Gaspard Girard d’Albissin recrée ce flottement : un espace à part, où la peinture devient un lieu de retrait et de contemplation. 

l y a, dans l’approche de Gaspard Girard d’Albissin, une tension entre la fixité du tableau et l’instantanéité des sources dont il s’empare. Collectionneur et sauveur d’images, il les collecte et transforme pour composer un atlas où le banal devient motif et où l’éphémère s’ancre dans la peinture. Il s’agit de jouer avec ce que les images racontent, avec ce qu’elles cachent et ce qui leur survit. 

« Une mémorisation exaltée et arrêtée, contre laquelle le Temps lui-même ne prévaudra pas, c’est le sentiment immédiat que nous communique tout grand tableau, avec cet air hautain et envoûtant qu’il a [...] d’entrer indéfiniment dans l’avenir à reculons : toute peinture, dans son essence, est rétrospective. »

Julien Gracq1 insistait sur cette puissance propre à la peinture : une image qui, une fois couchée sur la toile, résiste au temps et à l’oubli, tout en gardant en elle la trace du moment où elle a été captée. Gaspard Girard d’Albissin fait exactement cela : il attrape des éclats d’un présent volatile et les ancre dans une peinture qui, même en gardant l’apparence du fugace (flashs, reflets, textures mouvantes), les transforme en images survivantes. Ces images prélevées auraient pu s’effacer dans le flux numérique, mais une fois transposées sur la toile, elles acquièrent une nouvelle présence : hantées par ce qu’elles étaient, distanciées par ce qu’elles deviennent. (NDLG)

 

Exposition du 14 mars au 5 avril 2025

**** India Leire & Pedro Oliveira

 

Prima présente un duo show d’India Leire (1990, Angleterre, basée à Paris) et Pedro Oliveira (1990, Portugal, basé à Paris), deux artistes qui, par la sculpture et la peinture, explorent la matérialisation de l’intime et la transformation. India Leire façonne des sculptures en plâtre et céramique où le végétal, le minéral et l’organique fusionnent en chimères énigmatiques, Pedro Oliveira lui, construit et déconstruit l’image dans une peinture introspective, où la mémoire et l’émotion prennent corps.

India Leire

« La nature est mon obsession, elle est le point de départ et d’arrivée de toutes mes créations [...] Elle m’a appris beaucoup sur moi-même et m’offre la possibilité de rencontrer la vie sous différentes formes ». 

Ces mots d’India Leire traduisent l’essence d’un travail où les formes naturelles se métamorphosent en sculptures ambivalentes, oscillant entre fascination et inquiétante étrangeté. Puisant dans l’univers onirique des jardins fous de Lewis Carroll, elle imagine des paysages où la nature a repris ses droits, réinventant un écosystème hybride. Le vivant, chez India Leire, ne se limite pas aux formes organiques qu’elle observe et sculpte-: il s’étend à l’expérience intime et aux émotions. 

Créer, après la perte. Certaines des œuvres présentées à la galerie sont nées d’un besoin viscéral, de donner forme à l’indicible, et d’apprivoiser le deuil : « Broken est la première pièce que j’ai créée après le décès de ma mère. Pendant des mois, je n’avais plus envie de créer, la douleur était écrasante, à tel point que j’avais l’impression que mon cœur était en mille morceaux. [...] Cette pièce est la première d’une série sur les étapes du deuil ».

Pedro Oliveira

Les œuvres de Pedro Oliveira (formé à l’architecture et autodidacte en peinture) s’ancrent dans une quête personnelle d’identification et de réconciliation intérieure.

« Il y a des jours où mon esprit s’emmêle dans un nuage dense, à travers des paysages mentaux d’incertitude et d’introspection, frôlant parfois le psychotique. Dans ces moments-là, la communication avec l’extérieur devient presque insupportable. Il subsiste un désir sexuel viscérale, comme un battement de vie qui résiste et brille à travers la brume ».

Inspiré par ses souvenirs, ses rêves et des moments de tension émotionnelle, Oliveira se décrit comme un cartographe de l’intime, un territoire dont il extrait un véritable « atlas » iconographique. Les motifs - paysages mentaux, rêves et cauchemars, fragments de corps et de sexes masculins, bouches et portraits masqués - traversent l’œuvre pour former un ensemble complexe d’intime et d’inconscient à l’équilibre précaire.

L’engagement de l’artiste est total et sans concession. Assurément, Pedro Oliveira répond à l’exigence qu’invoquait Gerhard Richter dans le travail du peintre : « Pour faire de la peinture, il faut s’engager intimement ». » (NDLG)

 

Exposition du 11 avril au 11 mai 2025

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PARIS :

MAIRIE DU VIe : SALON DU VIEUX COLOMBIER : 78 rue Bonaparte, 75006 Paris. Entrée libre du lundi au vendredi de 10h30 à 17h, le jeudi de 10h30 à 19h, le samedi de 10h à 12h

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PARIS :

MAIRIE DU VIIIe ARRONDISSEMENT : 3 rue de Lisbonne 75008 Paris. Lundi/Vendredi : 12h/18h

Jeudi : 12h/19h. Samedi : 9h/12h.

 

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PARIS : 

MAIRIE DU XE ARRONDISSEMENT : 72 rue du Faubourg saint-Martin, 75010 Paris. Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h00. Nocturne tous les jeudis jusqu’à 19h30. Les samedis de 9h30 à 12h30.

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PARIS : 

MAIRIE DU XIIIe ARRONDISSEMENT : Place d'Italie, 75013 Paris. Lundi/Vendredi : 9h/17h. Samedi : 10h/16h. Fermé dimanche et 11 novembre.

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PARIS : 

MAIRIE DU XVIIe ARRONDISSEMENT : 16/20 rue des Batignolles, 75017 Paris. Tél :  01.44.69.17.17. Lundi/Vendredi : 8h30/17h. Samedi : 9h/12h30.

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PARIS : 

MAIRIE DU XIXe Arrondissement : 5-7 Place Armand Carrel, 75019 Paris. Tél. : 01 44 52 29 19. Lundi - Vendredi : 11h/17h

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PARIS : 

MAISON DE LA CULTURE DU JAPON : 101 BIS Quai Branly, 75015 Paris (Salle d'exposition niveau 2) Mardi/Samedi : 12h/20h (le 28 juillet : 18h).

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PARIS : 

MAISON DE L'AMERIQUE LATINE : 217 boulevard Saint-Germain, 75007 Paris. Tél : 01.49.54.75.00. Lundi/Vendredi : 10h/20h. Samedi : 14h/18h. 28 Juillet / 22 août : 14h/19. Fermé samedi.

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PARIS : 

MAISON DES COMMUNISTES : 3 place des grès, 75020 Paris.

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PARIS : 

ROUGE GRENADE : 85 bis rue de Bagnolet, 75020 Paris. Tél : 06.66.29.92.66. Jeudi/Samedi : 14h/19h30.

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PARIS : 

VILLAGE SUISSE : Galeries 80, 81, 82 : 12 avenue de Champaubert, 75015 Paris. Tél : 06.46.43.74.63. Vendredi/Dimanche : 14h30/18h30.

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