LAVAL :
MUSEE DE LA PERRINE : 10 allée Adrien Bruneau, 53000 Laval. Tél : 02.43.49.47.83
Du 1er novembre au 28 février 8h-17h30
Du 1er mars au 31 mars 8h-18h30
Du 1er avril au 30 septembre 8h-19h30
Du 1er octobre au 31 octobre 8h-18h30
Du 15 Juin et le 15 Août 9h - 20h30
Samedis et Dimanches : ouverture 9h et fermeture en fonction du mois.
********************
LAVAL :
MUSEE D'ART NAÏF ET D'ARTS SINGULIERS : Vieux château, Place de la Trémoille, 53000 Laval. Tél : 02.53.74.12.30. Mardi/Samedi : 9h/12h et 13h30/18h. Fermeture les lundis et jours fériés
********************
LE MANS :
CENTRE D'ART FIAA : La Visitation, 8 allée Le Prince d'Ardenay, 72100 Le Mans. Tél : 03.21.76.02.34. ou 06.83.27.72.83. Accès par La Visitation au 1 rue Gambetta. Mardi/Dimanche : 14h/18h.
********************
LA RICHARDAIS :
MANOLI, MUSEE ET JARDIN DE SCULPTURES : 9 rue du Suet, 35780, La Richardais. Tél : 02.23.18.72.79.
*********************
LE THORONET :
ABBAYE / 83340 Le Thoronet ; Tél : 04.94.60.43.96. Ouvert tous les jours Du 1er octobre au 31 mars : 10h – 13h / 14h – 17h Du 1er avril au 30 septembre : 10h – 18h30. Dernier accès 30 minutes avant la fermeture Fermetures 1 er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre, 25 décembre.
********************
LILLE :
PALAIS DES BEAUX-ARTS DE LILLE : Place de la République 59000 Lille. Tél : 03.20.06.78.00. Lundi ; 14h/18h. Fermé le mardi. Mercredi/Dimanche : 10h/18h.
********************
LYON :
FONDATION RENAUD : Fort de Vaise : 27 boulevard Antoine de Saint-Exupéry, 69009 Lyon. Tél : 04.78.47.10.82. Mercredi/Dimanche : 14h/18h.
********************
MAISONS :
CHATEAU DE MAISONS : 2 avenue Carnot, 78600 Maisons-Laffitte. Tél : 01 39 62 01 49
Ouvert tous les jours sauf le mardi
16 septembre au 15 mai 10h à 12h30 et 14h à 17h
16 mai au 15 septembre 10h à 12h30 et 14h à 18h
********************
MARSEILLE :
MUCEM : 201 quai du Port
TLJ. Sauf mardi : uverture les mardis 2, 9, 16 et 23 août 2022 de 10h à 20h.
Du 9 juillet au 30 août 2022 : 10h—20h // DOu 31 août au 6 novembre 2022 : 10h—19h //A partir du 7 novembre : 10h—18h // Du 6 avril au 8 juillet : 10h—19h
********************
MENDE :
MUSEE DU GEVAUDAN : 3 rue de l'Epine 48000 Mende. Tél : 06.70.56.63.24.
Ouvert du 1er avril à la fin des vacances de Noël.
Basse saison : Avril/Mai et Octobre/31 décembre : Mercredi/Dimanche : 14h/18h.
Haute saison : juin/septembre : Mardi/Dimanche : 10h/18h.
********************
MONTBELIARD :
MUSEE DU CHATEAU DES DUCS DE WURTEMBERG : Cour du château, 25200 Montbéliard. Tél. : 03 81 99 22 61. TLJ sauf mardi : 10 h/12 h, 14 h/18 h. Fermeture exceptionnelle les 1er mai, 1er novembre, 25 décembre et 1er janvier.
********************
MONTBRISON :
MUSEE D'ALLARD : 13 RUE DE LA Préfecture, 42600 Montbrison. Tél : 04.77.96.39.15.. TLJ. sauf mardi. Fermé le 25 décembre et le 1er janvier.
********************
MONTELIMAR :
CHATEAU DES ADHEMAR : Centre d’art contemporain : 24 rue du château, 26 200 Montélimar. Courriel : chateau-adhemar@ladrome.fr. Tél. : 04 75 00 62 30
Lundi/Dimanche :10h à 12h, et de 14h/18h.
********************
MONTOLIEU :
LA COOPERATIVE-MUSEE CERES FRANCO : Route d'Alzonne, 11170 Montolieu. Tél : 04.68.24.80.80. : du mardi au dimanche et les lundis fériés, de 10h à 12h30 et de 14h30 à 18h.
COLLECTION CERES FRANCO
" La Coopérative-Musée Cérès Franco vient de baisser le rideau, dimanche 30 octobre sur la saison 2022 et son
exposition “Féminin Plurielles”. Une belle saison qui a été symboliquement close lors du chaleureux hommage rendu à Cérès Franco une semaine plus tôt. Nous remercions les amis, les artistes et la famille pour avoir participé à la réussite de ce moment, ainsi que l’Association pour la valorisation de la collection Cérès Franco.
L’exposition de la commissaire Michela Alessandrini clôt ainsi un cycle de huit années d'expositions, de conférences, de rencontres de personnalités du monde de l'art, de reportages et d’articles de presse et de dizaines de milliers de visiteurs et d'élèves de la région Occitanie dans le cadre de la médiation mise en place par le musée.
Depuis 2015, et son ouverture au public, La Coopérative-Musée Cérès Franco s’est installée dans le paysage culturel de Montolieu, Carcassonne Agglo, le Département de l’Aude et la Région Occitanie. Des liens forts ont été créés avec de nombreux autres lieux culturels, établissements scolaires et partenaires qui font aujourd’hui du musée, un acteur culturel majeur du territoire. Une structure qui a reçu aussi la reconnaissance de nombreux observateurs du monde de l’art, commissaires d’exposition comme Jean-Hubert Martin, artistes mais aussi journalistes spécialisés dans les journaux et magazines nationaux.
Une nouvelle ère s’ouvre ! Elle va débuter par plusieurs mois de travaux. Un projet porté par les collectivités (Région Occitanie, Département de l'Aude, Carcassonne Agglo et commune de Montolieu) réunies au sein du GIP. Le musée s'engage aussi dans une procédure afin d'obtenir le label Musée de France et l’équipe travaillera pour étudier, conserver et valoriser la collection et les archives ainsi que pour préparer la réouverture du nouveau musée.
Les travaux d'agrandissement et de rénovation visent à faire de ce lieu, ancienne cave coopérative datant de 1939 qui avait été transformée en galerie au début des années 2000, un véritable musée. Le cabinet Passelac & Roques, qui a été associé à RCR arquitectes pour le projet du musée Soulages à Rodez, a dessiné le nouveau musée Cérès Franco. Un projet ambitieux qui permettra de créer des réserves pour accueillir les 1651 œuvres ayant fait l'objet de la donation. L'espace d'exposition sera agrandi et seront aussi créés un espace de médiation – plus de 2000 enfants et jeunes sont accueillis chaque année dans le cadre de visites pédagogiques -, un lieu de documentation et d'archives mais aussi des nouveaux bureaux pour le personnel. Et bien sûr, les travaux permettront l'accès aux personnes en situation de handicap". (NDM)
********************
MONTPELLIER :
ATELIER-MUSEE D'ART BRUT : 1 rue Beau Séjour 34000 Montpellier / tel. : 04 67 79 62 22
Mail : contact@atelier-musee.com / Site web : www.atelier-musee.com / Facebook : L’Atelier Musée
Ouvert du mercredi au dimanche, de 10h à 13h et de 14h à 18h. Fermé les lundis, mardis et jours fériés
**** KASHINATH CHAWAN : Peintures
« Kashinath Chawan (c.1950) est né à Pune, deuxième ville de l’état du Maharashtra, située à 90 km de Bombay (Inde). Il appartient à la caste des cordonniers depuis plusieurs générations. Son grand-père, son père ont exercé ce métier et lui-mêmecontinue cette activité depuis l’âge de quinze ans. Chaque jour, il quitte son bidonville situé à une heure du centre de la ville et serend, par tous les temps, sur son lieu de travail, un trottoir d’une des rues commerciales. Il commence sa journée par brûlerquelques bâtons d’encens en geste d’offrande, devant le petit autel qu’il a fabriqué, accroché à un arbre et dédié à « Ganesh ». Ilinstalle sa petite échoppe de cordonnier « cireur de chaussures » et attend patiemment ses clients. Puis aux heures calmes de la journée, il profite de son temps et dessine sur des morceaux de cartons, papiers usagés qu’il trouve par terre.
Tous ses dessins sont exécutés au stylo bille de couleur etreprésentent principalement des divinités hindoues Shiva, Ganesh... mais aussi des personnages politiques ou des stars de Bollywood. Le créateur ne se livre à aucun croquis ou dessin préparatoire. Les premiers tracés sont légers et imprécis. Le procédé que Chawan met en œuvre consiste à répéter de petits traits par à-coups successifs qui se superposent, créant ainsi progressivement une ligne qui s’intensifie, trouve une stabilité et prend un essor cursif. A l’aide d’un simple stylo à bille, Chawan invente un système technique qui permet des jeux graphiques, de subtils clairs-obscurs, des effets de modelé, des rendus de matières, conférant douceur et mystère à sa production.
Aujourd’hui Kashinath Chawan est reconnu comme un créateur d’art brut et ses dessins, très recherchés par les collectionneurs, sont visibles dans les grands musées d’art brut et singulier du monde. (NDM)
*********************
MONTPELLIER :
FRANCE OCCITANIE : 4 rue Rambaud 34000 Montpellier. Tél : 04.99.74.20.35. Mari/Samedi : 14h/18h. Sauf fériés.
********************
MOUANS-SARTOUX :
EAC ESPACE DE L'ART CONCRET : 52 chemin de paradis, 06370 Mouans-Sartoux. Tél : 04.93.75.71.50. Horaires : Lundi/Vendredi : 9h30/16h.
**** Cécile Bart & Ode Bertrand : "Dialogue avec la collection Albers-Honegger"
"L’eac. présente un nouveau cycle de relecture de sa collection permanente, et choisit de mettre à l'honneur deux artistes essentielles de la scène abstraite française : Cécile Bart et Ode Bertrand, qui, invitées en tandem de cette édition 2023, vont dialoguer non seulement entre elles mais également avec une sélection d'œuvres issues de la Donation Albers-Honegger, avec des artistes tels que : Bernard Aubertin, Marcelle Cahn, Antonio Calderara, Jean-François Dubreuil, Gottfried Honegger, Frantisek Kupka, Verena Loewensberg, Aurélie Nemours, Vera Molnar, François Morellet, David Rabinovitch...
Cécile Bart et Ode Bertrand expérimentent la notion de trame et de maillage en jouant avec l'œil du spectateur et également avec l'échelle même de leurs oeuvres, allant de l'infiniment petit pour l'une à la monumentalité pour l'autre. La question du rythme traverse également leurs démarches respectives. Intime du cercle de l'art concret, Cécile Bart a côtoyé depuis les années 80 le couple Albers-Honegger. Quant à Ode Bertrand, après une carrière dédiée à la danse, éclairée par la pratique de sa tante, Aurélie Nemours, qu'elle a assisté dans son travail, elle se consacre aussi à l'art abstrait géométrique"..(NDM)
**** JEAN-PIERRE BERTRAND : Time removing
"L’eac. consacre une partie de ses espaces d'exposition temporaire à l’artiste français Jean-Pierre Bertrand. Intitulée Time removing, cet hommage est conçu en collaboration avec le fonds de dotation Jean-Pierre Bertrand.
L’oeuvre de Jean-Pierre Bertrand (Paris, 1937-2016) prend sa source dans une approche arithmétique du temps et de la nature, la porosité des médiums et le cinéma. Dès la fin des années 1960, sa recherche du vivant en tant que transformation continuelle de l’oeuvre s’exprime par le film et la vidéo, la peinture, la photographie, le dessin et l’imprégnation quasi-alchimique de papiers par des matières organiques (sel, citron, miel), avec en toile de fond, l’écriture conçue comme un médium artistique.
Artiste multiforme, son oeuvre se renouvelle dans chaque exposition ; chaque installation procède d’une réflexion sur la sérialité et la répétition, la résonance physique du corps et de l’espace, comme une ré-élaboration continuelle de son travail. Son oeuvre est considérée comme unique, développant un univers sensible qui ne s’apparente à « aucun mouvement, à aucune école encore en place », pourtant il s’intègre parfaitement à la collection de l’eac." (NDM)
********************
NANTES :
LE LIEU UNIQUE : Quai Ferdinand Favre, 44000 Nantes. Tél : 02.40.12.14.34. Mardi/Samedi : 12h/19h
********************
NOGENT-SUR-SEINE :
MUSEE CAMILLE CLAUDEL : 10 rue Gustave Flaubert, 10400 Nogent-sur-Seine. Tél : 03.25.24.76.34. Mercredi/Lundi : 10h/18h. Fermé le mardi.
********************
NOYERS SUR SEREIN :
MUSEE DES ARTS NAÏFS ET POPULAIRES : 25, rue de l'église, 89310 Noyers-sur-Serein.
Tél. : 03.86.82.89.09
** 1er octobre au 31 mai : Week-ends, jours fériés et vacances scolaires (toutes zones) de 14H30 à 18H. / Juin et Septembre TLJ. sauf mardi : 11H/12H30 et 14H/ 18H. Juillet et Août TLJ. sauf mardi :10H/ 18H30.
Fermeture hebdomadaire : le mardi / Fermeture annuelle : Janvier.
********************
POITIERS :
MIROIR : 1 Place du Maréchal Leclerc, 86000 Poitiers
**** LA FABULOSERIE : Génies insolites et artistes hors-les-normes.
********************
PONT-AUDEMER :
MUSEE ALFRED CANEL : 64, rue de la République. 27500 Pont-Audemer. Tél :06.81.22.16.87. De mai à septembre lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 14h à 18h // samedi, dimanche de 10h à 12h30 et de 14h à 18h. Fermé le 1er mai.D'octobre à avril : mercredi, vendredi de 14h à 18h.samedi, dimanche de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.fermé le 25 décembre et le 1er janvier
********************
RENNES :
MUSEE DES BEAUX-ARTS : 20 quai Emile Zola, 35000 Rennes. mardi au vendredi : 10h >17h. Samedi et Dimanche : 10h>18h. Fermé le lundi et les jours fériés.
********************
ROCHECHOUART :
MUSEE DEPARTEMENTAL D'ART CONTEMPORAIN : Château, Place du Château. 87600 Rochechouart. Tél : 05.55.03.77.77. TLJ. sauf mardi : 10h/12h30 et 13h30/18h. Du 1er octobre au 15 décembre, TLJ. sauf le mardi : 10h/12h30 et 14h/17h. // Fermé du 15 décembre au 1er mars.
**** RAOUL HAUSMANN : Peintures
« Né à Vienne en 1886, Raoul Hausmann est le fils d’un peintre académique qui le forme à ses débuts. En 1918, il devient l’un des membres fondateurs de Dada Berlin, un mouvement radical et provocateur. Il s’écarte alors des médiums conventionnels et participe à la création du photomontage, de la poésie phonétique, tout en se consacrant à de nombreuses expérimentations plastiques et littéraires.
En 1959, Raoul Hausmann, installé à Limoges depuis quinze ans dans un relatif anonymat, se remet à peindre. Il réagit à la peinture abstraite de la seconde École de Paris qui règne alors. Durant cinq ans, il va réaliser une centaine de peintures, dont une trentaine sont aujourd’hui conservées dans le Fonds Hausmann du Musée départemental d’art contemporain de la Haute-Vienne - château de Rochechouart.
L’exposition Raoul Hausmann - Peintre explore la rapide évolution de l’artiste dans le champ pictural, de toiles sombres et tourmentées à des œuvres plus analytiques, toujours réalisées avec la rapidité d’un geste spontané.
L’exposition présente en parallèle quelques photographies, collages et écrits produits par Raoul Hausmann à la même période, reflétant la pluralité de sa création, nourrie de jeux de langage et d’innovation visuelles. « Le monde a besoin de tendances nouvelles en poésure et peintrie », comme il le déclare à l’époque." (NDM)
Vernissage le vendredi 11 octobre à 17h30.
********************
ROUBAIX :
ESPACE CROISÉ. CENTRE D'ART CONTEMPORAIN : 2 rue de Wasquehal, 59100 Roubaix. Mercredi/Dimanche : 14h/18h.
********************
ROUEN :
MUSEE DES BEAUX-ARTS : Esplanade Marcel Duchamp, 76000 Rouen. Tél : 02.35.71.28.40. Ouvert tous les jours de 10 h à 18h. Fermé les mardis, les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre et 25 décembre.
********************
ROUEN
au Musée des Beaux-Arts de Rouen
au Musée de la céramique à Rouen
au Musée de la Corderie Vallois à Notre-Dame-de-Bondeville
au Musée Pierre Corneille à Rouen
********************
ROUEN :
MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE : 198 rue Beauvoisine, 76000 Rouen. Horaires d'ouvertures générales : LUNDI : Fermé. MARDI/SAMEDI : de 13h30 à 17h30. DIMANCHE : de 14h à 18h00. Jours Fériés : Fermé 1ER JANVIER. LUNDI DE PÂQUES. 1ER MAI. LUNDI DE PENTECÔTE. 1ER NOVEMBRE. 11 NOVEMBRE. 25 DÉCEMBRE.
********************
ROUEN :
MUSEE DE LA CERAMIQUE : 1 rue Faucon, 76000 Rouen. TLJ. sauf le mardi : 14h à 18h. Fermeture les 1er janvier, 1er mai, 1 er et 11 novembre, 25 décembre
********************
ROUEN :
MUSEE DE LA FERRONNERIE LE SECQ DES TOURNELLES : Eglise Saint-Laurent, 2 rue Jacques Villon, 76000 Rouen. Tél : 02.35.88.42.92. Lundi : 14h à 18h Mardi : Fermé Mercredi : 14h à 18h Jeudi : 14h à 18h Vendredi : 14h à 18h Samedi : 14h à 18h Dimanche : 14h à 18h Jours Fériés 1er Janvier :
********************
ROUEN NOTRE DAME DE BONDEVILLE :
MUSEE DE LA CORDERIE VALLOIS : 185 route de Dieppe, 76960 Notre-Dame-de Bondeville. Horaires : TLJ : 13h30/ 18h. Mise en fonctionnement des machines avec visites commentées à 14h, 15h, 16h et 17h. Fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre et 25 décembre.
********************
ROCHEFORT-EN-TERRE :
NAIA MUSEUM : Parc du Château, 14rue du Château, 56220 Rochefort-en-Terre. Pleine saison : vacances Printemps et Eté : Weekends et fériés : 10h30/18h30. Basse saison : Vacances automne, hiver : 14h/18h. Saison de Noël : 14h30/20h.
******************
RUEIL- MALMAISON:
MAISON DU PERE JOSEPH : 34 boulevard Richelieu, 92500 Rueil. Tél : 01.47.52.07.92. Lundi/Vendredi : 10h/20h. Samedi : 10h/18h.
********************
SAFFRE :
HANG-ART : 10 rue Le Moulin Roty, 44390 Saffré. Tél : 02/40/77/22/10. Dimanches et jours fériés : 14 h 30/18 h 30. Entrée libre ou en semaine sur RDV
********************
SAINT-ETIENNE METROPOLE :
MUSEE D'ART MODERNE ET CONTEMPORAIN : Rue Fernand Léger, 42270 Saint-Priest-en-Jarez. Tél : 04.77.79.52.52. Ouvert tous les jours sauf le mardi de 10h à 18h. Ouvert tous les jours pendant les vacances scolaires de la zone A. Fermetures exceptionnelles : 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 15 août, 1er novembre et 25 décembre.
Le Musée d’Art Moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole invite tous les publics à venir (re)découvrir ses expositions en cours, consacrées à Marcelle Cahn, Marc Camille Chaimowicz ou encore aux collections avec l’accrochage The House of Dust.
Pendant 35 ans, les centrales de traitement d’air du bâtiment ont maintenu le climat assurant la bonne conservation des œuvres. Pendant 35 ans, les murs et cimaises ont été peints, percés, colmatés, repeints des centaines de fois pour présenter au public près de 400 expositions. Pendant 35 ans, plus de deux millions de visiteurs ont arpenté les 3000 m² de salles d’expositions. Première étape de l’avenir ambitieux du MAMC+, les sols, les cimaises et les centrales climatiques du bâtiment signé Didier Guichard, doivent aujourd’hui être réhabilités ou remplacés.
Alors que, dans les murs, les ouvriers s’affaireront pour donner une nouvelle jeunesse aux salles d’exposition, l’équipe du MAMC+ fera vivre l’équipement hors de ses murs. Une offre de médiation nomade sera ouverte à tous les publics habituellement accueillis au musée : scolaires, étudiants, seniors, personnes hospitalisées… Chaque action de médiation permettra d’activer des œuvres de la collection avec pour objectif d’intervenir dans les 53 communes de la métropole.
Les visiteurs retrouveront également le musée sur le site de la Cité du Design dans le bâtiment de la Platine. Le temps des travaux, cette installation éphémère permettra au MAMC+ de maintenir une programmation artistique et culturelle et de redéployer sa librairie.
À la réouverture, prévue au printemps 2024, les visiteurs bénéficieront d’une meilleure circulation dans les salles reconfigurées et retrouveront une œuvre, cachée depuis longtemps aux yeux du public, d’un certain Jean-Pierre Raynaud…" (NDM)
********************
SAINT-LOUIS :
FONDATION FERNET-BRANCA : 2 rue du Ballon, 68300 Saint-Louis. Mercredi/Dimanche : 13h/18h.
****La Fondation Fernet-Branca qui célèbre ses 20 ans cette année « L’Œuvre-Messagier. Une mimesis abstraite du Monde : les commencements et les achèvements ». Sous le commissariat de Bernard Ceysson et d’Arlette Klein, l’exposition commémore les 25 ans de la disparition du peintre Jean Messagier dont l’œuvre figure parmi les plus importantes de l’histoire de l’art moderne et de la peinture abstraite de la seconde moitié du XXe siècle. Avec plus de cent-dix œuvres, l’exposition retrace le parcours de l’artiste à l’univers pictural unique, profondément personnel et intime, en commençant par ses dernières peintures pour remonter aux travaux de ses débuts où s’installent les caractéristiques de son abstraction absolue portées à la fin des années 60. Ce cheminement permet également de découvrir la vie et l’histoire de Jean Messagier, l’un des artistes les plus singuliers et influents de sa génération.
L’exposition avec plus de cent-dix œuvres retrace son parcours en remontant le temps : à partir de ses dernières œuvres semblant accorder la précellence à la forme parce que s’y cristallise en des achèvements somptueux l’opera de sa vie de peintre, son histoire, ses histoires, vers les travaux de ses débuts où se mettent en place les caractéristiques que l’on a retenues de son art portées à la fin des années 60 à cette abstraction absolue qu’il recherchait. Nous n’avons que fait allusion, délibérément, aux œuvres surprenantes des années 70 et 80 qui ont fait l’objet de présentations récentes.
Une importante sélection d’œuvres ultimes, des années 90, dont l’exposition propose des exemples majeurs ouvre l’exposition. Dans ces achèvements, tout s’ordonne, sublimé, dans l’enclos du tableau. Les expériences les plus novatrices, les ruptures formelles, les allers et venues d’un médium à l’autre, de la peinture à la gravure, du dessin à la sculpture, du happening et du spectacle à la poésie, les oscillations entre l’éphémère et ce qui « gèle » le temps dans l’intemporalité de l’œuvre, tout se « stoppe » dans chaque tableau de cet ultime moment.
L’exposition avec plus de cent-dix œuvres retrace son parcours en remontant le temps : à partir de ses dernières œuvres semblant accorder la précellence à la forme parce que s’y cristallise en des achèvements somptueux l’opera de sa vie de peintre, son histoire, ses histoires, vers les travaux de ses débuts où se mettent en place les caractéristiques que l’on a retenues de son art portées à la fin des années 60 à cette abstraction absolue qu’il recherchait. Nous n’avons que fait allusion, délibérément, aux œuvres surprenantes des années 70 et 80 qui ont fait l’objet de présentations récentes.
Une importante sélection d’œuvres ultimes, des années 90, dont l’exposition propose des exemples majeurs ouvre l’exposition. Dans ces achèvements, tout s’ordonne, sublimé, dans l’enclos du tableau. Les expériences les plus novatrices, les ruptures formelles, les allers et venues d’un médium à l’autre, de la peinture à la gravure, du dessin à la sculpture, du happening et du spectacle à la poésie, les oscillations entre l’éphémère et ce qui « gèle » le temps dans l’intemporalité de l’œuvre, tout se « stoppe » dans chaque tableau de cet ultime moment.
Messagier a radicalisé dans une formulation artistique intensément efficace, son dessein expressif, son absorbement émotionnel. Dans ses œuvres ultimes, c’est comme s’il avait dévidé tous ses fils pour les retisser en larges bandes ou plutôt en lanières souples. Il en recouvre avec de larges brosses plates la surface du tableau, de la toile. Il les oriente en diagonales, contrairement aux étagements de formes des tableaux des années 50 et de leur dispersion plus libre, dans ceux des années 60, dans le plan de la toile, les élançant, les projetant, au-delà de ses bords. Bien avant d’y avoir systématiquement recours, il avait écrit : « Je suis obsédé par la diagonale, je sais maintenant pourquoi, c’est mon obsession de l’infini. » (Météores quotidiens, p. 37.)
Dans ses œuvres des années 50 et 60, Messagier a su ranimer la convention classique de la peinture d’histoire laquelle « suppose que tout grand événement historique ou mythique peut être représenté par l’art et, réciproquement, que tout grand tableau doit figurer un grand événement » (Jean Starobinski). Chaque œuvre de Messagier nous représente un grand événement de la Natura naturans. Il le vit avec elle. Et, lui, Messagier le peint comme un instant exceptionnel de sa vie. Ce que ces « peintures » nous montrent, avec une détermination efficace, transposé en « peinture », c’est d’abord un vécu physique et émotionnel de la Natura naturans. C’est aussi, le combat, la bataille, d’un homme-artiste de notre temps, avec l’eau, l’air, les manifestations des énergies qu’à partir d’un noyau générateur la Nature libère et qui, en peinture, dans la peinture de Jean Messagier, se nouent, se dénouent, en tourbillons, pelotons, écheveaux, torsades de fils plus ou moins épais de peinture, s’agrégeant en lanières, en rubans. C’est entre les bords du tableau, dans son espace limité, que ces batailles, ces corps-à-corps, de l’artiste avec la nature sont « re-présentés ».
L’année 1947 a été, pour Jean Messagier, une année charnière, cruciale. Il n’est pas surprenant que ses premières peintures significatives aient retenu un brin du dessin de Picasso et qu’il ait médité les leçons du cubisme. Mais, il ne s’est en rien conformé au post-cubisme de la non-figuration dominante des années 40. Il est remarquable qu’il ait su très vite se libérer des contraintes de l’art figuratif traditionnel et de celles plus décoratives des abstractions géométriques, idéalistes, de l’après-guerre.
Alors qu’on peut voir dans Les Cueilleurs de figues une réduction au plan de formes juxtaposées où s’esquisse une tête picassienne, c’est avec Jeunes Filles dans la vallée que s’ébauche une évolution déterminante. Et avec toute cette « série » de peintures dont la vallée est donnée comme principale référence. Il opère alors une dissolution de l’espace cubiste par le « rejet d’un espace nettement défini en profondeur ». Cette propension à ramener la surface des formes dans le plan, déjà signalée plus haut, s’accompagne très vite d’une relégation des formes vers les bords de la toile. Ce processus est sensible, dès 1952, dès Les Matins et dès Entre les arbres où le rythme se séquence par les intervalles. L’espace s’amplifie horizontalement et sa structuration se délite et s’efface. Une énergie anime les parcours différenciés de la brosse marquant, avec une fougue et une vitesse visibles, la gestuelle cadencée de ses passages.
On assiste, dès 1958, à une mise en ostension sur, semble-t-il, deux couches de fond, légères, transparentes, flottantes, d’un écheveau de bandes enchevêtrées faites de multiples lignes parfois très fines, entremêlant parfois leurs épaisseurs sans aller jusqu’à la flagrance du maculage tachiste. On ne sait trop s’il s’agit là, centrale dans le plan de la toile, d’une figure encore informe ou d’une forme en devenir de figure ou d’une forme s’estompant, par une sorte d’essuyage « précipité ». Notre regard ne saisit pas précisément les contours d’une masse centrale aux épaisseurs pressenties variables se présentant planante, en lévitation, donc mouvante. Comme Valéry, Messagier sait que, peintes, ces taches ne peuvent être modifiées : « Dire que ce sont des choses informes, c’est dire, non qu’elles n’ont point de formes, mais que leurs formes ne trouvent en nous rien qui permette de les remplacer par un acte de tracement ou de reconnaissance nets ». Mais ces taches ont, dans sa peinture d’autres propriétés que de « seulement occuper une région de l’espace ». (NDM)
Exposition jusqu’au 2 février 2025.
********************
SAINT-OUEN L'AUMONE :
ABBAYE DE MAUBUISSON : avenue Richard de Tour, 95310 Saint-Ouen-L'Aumône. Tél : 01.34.33.85.00. Horaires de l’exposition En semaine (sauf le mardi). de 13h à 18h. Le week-end et les jours fériés de 14h à 18h. Dernier accès à 17h30. Fermé le mardi, le 25 décembre, le 1er janvier et le 1er mai.
Horaires du parc : entre le 14 mars et le 14 septembre : Tous les jours de 7h à 21h Entre le 15 septembre et le 13 mars : de 8h à 18h30 . Parc fermé les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai.
********************
SAINT-FLORENTIN :
MUSEE EN FLORENTINOIS : Avenue du Général Leclerc 89600 Saint-FlorentinTLJ. sauf mardi et vendredi : 14h30/17h30.
********************
SAINT-NAZAIRE :
LE GRAND CAFE CENTRE D'ART CONTEMPORAIN : Place des Quatre z'Horloges, 44600 Saint-Nazaire. Mardi/Vendredi et lundi : 11h/19h. Samedi/Dimanche : 14h/19h.
********************
SAINT-PAUL DE VENCE :
FONDATION MAEGHT : 623 Chemin des Gardettes, 06570 Saint-Paul de-Vence. Tél : 04.93.32.81.63. Réouverture de la Fondation Maeght le 1ᵉʳ juillet.TLJ. : Septembre-Juin : 10h-18h. Juillet-Août : 10h-19h. Fermeture à 16h les 24 et 31 décembre. Dernière admission 1/2 heure avant la fermeture. Fermeture exceptionnelle possible.
**** L'extension de la Fondation Maeght
Ouvrage à paraître en novembre 2024 aux éditions Archibooks
En novembre prochain, l’ouvrage Fondation Marguerite et Aimé Maeght, Architectures : de Josep Lluís Sert à Silvio d’Ascia paraîtra aux éditions Archibooks. Inaugurés en juin 2024, les nouveaux espaces ont connu un franc succès auprès des visiteurs. L’architecte Silvio d’Ascia a imaginé quatre salles permettant d’agrandir les surfaces d’exposition de 580 m2, dans le respect de l’architecture originelle du bâtiment de Josep Lluís Sert et en dialogue avec la nature environnante. La surface agrandie de la Fondation Maeght permet la conception et le développement d’expositions toujours plus ambitieuses, tout en permettant d’augmenter la qualité de visite et d’enrichir la programmation, proposant en intérieur : conférences, projections, danse et performances, journées d’étude et concerts.
**** MINJUNG KIM : « Mountain
« la Fondation Maeght présentera l’exposition Mountain de l’artiste coréenne contemporaine Minjung Kim. Reconnue internationalement pour ses œuvres poétiques et minimalistes, l’artiste tisse un lien subtil entre tradition et modernité. Travaillant principalement à l’encre sur papier traditionnel coréen hanji de grandes dimensions, elle réalise des compositions d’une grande délicatesse, où la répétition de motifs s’apparente à une méditation sur le temps, la nature et la spiritualité.
"J’ai visité la Fondation Maeght de nombreuses fois (…). La toute première fois, c’était en 1990, et j’ai été vraiment submergée par le charme de l’endroit et de son environnement naturel. Les artistes présents et leurs œuvres étaient extraordinaires, sublimés par la lumière du sud de la France. Cela m’a fait réfléchir à la manière dont une famille a su réunir un groupe d’artistes aussi talentueux, unis par leur amitié, pour créer un héritage aussi grand, devenant l’une des fondations privées d’art les plus renommées d’Europe. C’était une expérience totalement nouvelle pour moi. Les dimensions des salles étaient idéales, le soleil, la lumière et les œuvres d’art créaient une atmosphère particulière.
Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour, j’aurais l’opportunité d’y exposer. À cette époque, les artistes se réunissaient, échangeaient des idées et partageaient leurs expériences en personne, créant ainsi une communauté solide. Aujourd’hui, malheureusement, nous sommes plus isolés, dépendant de la communication numérique – comme les SMS –, ce qui nous fait perdre ce pouvoir collégial que nous avions autrefois. On peut se sentir assez seul en tant qu’artiste dans le monde de l’art.
Je suis très heureuse d’avoir la chance de montrer mon travail à la Fondation Marguerite et Aimé Maeght. Depuis 2006, j’ai un atelier à Saint-Paul-de-Vence, où je passe régulièrement du temps à créer des œuvres inspirées par mon environnement. Je suis venue ici pour échapper à la ville et m’immerger dans un autre type de créativité. C’est un bonheur de faire partie de cet univers, et les mots ne peuvent pas vraiment exprimer mon enthousiasme à propos de cette exposition à la Fondation.”Minjung Kim
Exposition jusqu’au 9 février 2025.
**** HELENE DELPRAT : « Ecoutez, c’est l’éclipse »
« la Fondation Maeght présente une exposition monographique d'Hélène Delprat conçue spécifiquement pour les salles en rez-de-jardin du bâtiment historique. L’histoire et l’histoire de l’art - dont certains artistes phares de la Fondation Maeght - infusent secrètement l’œuvre d’Hélène Delprat, figure majeure de la scène artistique contemporaine. Ses œuvres côtoient celles de ces grands maîtres depuis de nombreuses années au sein de la collection de la Fondation Maeght.
Après une année exceptionnelle de célébration du soixantenaire de la Fondation Maeght qui a vu sa fréquentation augmentée de près de 46% (en 2024, 190 000 visiteurs sont venus découvrir l’exposition anniversaire « Amitiés, Bonnard-Matisse » comme la nouvelle extension du bâtiment), la programmation 2025 de la Fondation Maeght est placée sous le signe des femmes : femmes artistes et commissaires d’expositions. Au printemps, c’est Hélène Delprat qui sera mise à l’honneur sous le commissariat de Laurence Bertrand Dorléac. Cet été, la Fondation Maeght mettra en lumière Barbara Hepworth, sous le commissariat d’Eleanor Clayton.
L’exposition « Écoutez, c’est l’éclipse », explore le monde d’Hélène Delprat dont l’histoire originale croise celle de la Fondation Maeght. À 16 ans, elle y découvre Giacometti et Le Musée imaginaire de Malraux qui l’impressionnent au point de s’en souvenir encore aujourd’hui dans son accrochage actuel.
Le titre poétique de l’exposition est emprunté à Alfred Jarry et annonce la couleur : «Écoutez, c’est l’éclipse». Le meilleur de l’histoire personnelle et commune d’Hélène Delprat nous est offert à travers un parcours de plus de soixante œuvres qui retrace une aventure singulière : elle a souvent préféré les chemins buissonniers plutôt que la voie royale assurée, dès sa sortie de l’École des Beaux-Arts, par son séjour à la Villa Médicis et son entrée à la prestigieuse Galerie Maeght. Ayant toujours aimé se compliquer la vie en brisant tout ce qui allait de soi, elle fuira le succès. Elle s’éclipsera sans jamais cesser de peindre tout en se plaignant amèrement de la difficulté d’y arriver. Dans sa colère joyeuse, en trouvant presque tout affreux, elle s’amuse d’un rien et réinterprète tout ce qu’elle aime profondément en art, en littérature mais aussi au cinéma ou dans la vie quotidienne : dans les médias, au café, à l’hôtel, en promenade. Tout ce qu’elle peint, filme, sculpte ou tisse lui tient lieu de journal de ses jours et de ses nuits.
Son art est autant hanté par les fantômes de l’histoire (de la guerre en particulier) et de l’histoire de l’art (de Piero della Francesca à William Hogarth, de Ad Reinhardt à Paul McCarthy...) que par les images populaires et familières. Elle est ainsi avide d’images de presse, de la Gazette Drouot, de bandes dessinées d’hier et d’aujourd’hui. Elle n’a de cesse d’imprimer, de photocopier, de classer... Quant aux épisodes traumatisants de sa vie, elle préfère leur donner la forme cryptée d’un rébus. Sa propension à tourner le pire en dérision rend son art d’autant plus vivant, truculent, drôle et archi-émouvant. Plus de soixante peintures (dont de très grands formats), dessins, sculptures, films, photographies et céramiques seront répartis en huit séquences. Deux sculptures originales imaginées et réalisées pour les bassins de la Fondation Maeght donnent le diapason dès l’entrée. » (NDM)
Exposition du 22 mars au 9 juin 2025.
********************
SAINT-RAPHAËL :
CENTRE CULTUREL GEORGES GENESTA : Place Gabriel Péri, 83700 Saint-Raphaël. Tél : 06 12 81 03 92. Mardi/Samedi : 10h/18.
Et
MUSEE ARCHEOLOGIQUE : Quai Albert 1er
Et
JARDIN BONAPARTE : Quai Albert 1er
********************
SAINT-SEVER EN MOUSTIER :
LES NOUVEAUX TROUBADOURS : LE MUSEE DES ARTS BUISSONNIERS :12370 Saint Sever du Moustier. Tél : 05 65 99 97 97.Tous les jours en juillet et août et du jeudi au dimanche en septembre, de 14h30 à 18h30.
********************
SAINTE-CROIX :
ANCIEN MONASTERE DE SAINTE-CROIX : 54 Place de l'Eglise-Temple, 26150 Sainte-Croix.Tél : 04.75.21.22.06. Mardi/Samedi : 10h/17h.
********************
SANNES :
CHATEAU : 1580 Route départementale 37, 84240 Sannes.
**** THIERRY LEFORT : "California"
"Thierry Lefort, la peinture et son ombre.
Sont exposées pour la première fois les encres réalisées à Los Angeles l'hiver dernier.
Elles sont accompagnées de peintures emblématiques de son œuvre où les palmiers et la jungle urbaine font écho aux buildings et aux poteaux électriques si caractéristiques de la Californie.
Hermétique aux modes et aux tendances de l’art, Thierry Lefort poursuit avec une rare fidélité une certaine idée de la peinture, celle qui poussait, déjà, Cézanne à revenir inlassablement au motif avec l’obstination du moine concentrant son regard vers le dieu unique. En fervent admirateur du maître d’Aix, Thierry Lefort perpétue le geste de sortir la peinture de l’atelier. Ne la fait-il pas descendre dans la rue, en puisant le matériau de ses futures toiles in situ au sein des espaces urbains de Paris ou de Los Angeles ?
Ne confère-t-il pas ainsi une dignité esthétique à des lieux aussi anodins qu’un parking, une gare de triage, une friche industrielle ou un simple coin de rue ? N’apporte-t-il pas un soin tout particulier à des motifs plastiques généralement minorés, comme ces ombres portées qui finissent par envahir la surface de la toile ? Souvent surchargés de détails en apparence inutiles, à l’instar de l’écheveau de lignes téléphonique, de poteaux, et de poutrelles que le peintre s’évertue à détailler avec la patience d’un Morandi cernant le contour d’une carafe, les tableaux de Thierry Lefort semblent délivrer une métaphysique de ces objets urbains insignifiants. Les poteaux électriques d’une place de San Francisco prennent même, parfois, l’allure d’un tripalium pour de futures crucifixions…Sans doute, l’absence de personnage contribue-t-elle à donner une consistance plastique insolite à ces rues désertes que l’artiste s’évertue à priver de toute narration". Philippe Godin
Vernissage le 17 juin à 17h.
********************
SERIGNAN :
MRAC : MUSEE REGIONAL D'ART CONTEMPORAIN : 146 avenue de la Plage, 34410 Sérignan. Tél : 04.67.17.88.95. Mardi/Vendredi : 10h/18h. Samedi et Dimanche : 13h/18h.
********************
SETE :
CENTRE REGIONAL D'ART CONTEMPORAIN /SETE : 26 quai Aspirant Herber, 34200 Sète. Tel : 04 67 74 94 37. TLJ. : 12h30/19h. Fermé le mardi. Week-end : 14h/19h.
Entrée libre. Visites commentées à 16h, le samedi et le dimanche. Visites dialoguées, gratuites, sur rendez-vous
Fermeture de fin d'année : Le Centre d'art sera fermé les 25 décembre 2017 et 1er janvier 2018, les 24 et 31 décembre 2017 le centre fermera ses portes exceptionnellement à 17 heures
********************
SOTTEVILLE-LES-ROUEN :
MUSEE ART ET DECHIRURE D'ART SINGULIER : Centre hospitalier du Rouvray. 4 rue Paul Eluard, 76300 Sotteville-les-Rouen. Tél : 06.60.05.11.78. Mercredi, Samedi, Dimanche : 14h/17h.
********************
SUCY-EN-BRIE :
MUSEE : 1 avenue Georges Pompidou, 94370 Sucy-en-Brie. Mercredi et Samedi : 9h/12h et 15h/18h. Dimanche : 15h/18h.
********************
TOULON :
HOTEL DES ARTS : 236 Boulevard Général Leclerc, 83000 Toulon. Tél : 04 94 91 69 18. Mardi/Dimanche : 10h/18h. Fermé les lundis et 1er janvier / 1er mai / 25 décembre. Entrée libre.
********************
TOULOUSE :
LES ABATTOIRS, MUSEE-FRAC OCCITANIE : 76 Allées Charles de Fitte, 31300 Toulouse
Tél : 05 34 51 10 60. Mercredi/Dimanche : 12h/18h. Nocturnes les jeudis de 18h à 20h (hors vacances scolaires).
**** Liliana Porter, le jeu de la réalité. Des années 1960 à aujourd’hui.
Première rétrospective en France, mêlant des travaux historiques et récents, à travers un corpus d’une centaine d’œuvres…
"Liliana Porter explore différents médiums, gravure, peinture, sculpture, photographie, vidéo dans lesquels s’inscrit une recherche au long cours sur la perception de la réalité et les notions de temps et d’espace. Sa pratique de la gravure, qu’elle contribue à renouveler dès les années 1960 avec la création du New York Graphic Workshop, est au cœur de son travail. Cette technique redécouverte par les artistes du Pop Art et plébiscité en Amérique latine et du sud pour sa dimension politique, lui permet de porter un regard critique sur la notion d’auteur et de travail collectif, et d’offrir de nouvelles formes de narration. À partir des années 1970 elle se met à la photographie et intègre des images de son propre corps à des dessins notamment muraux, en écho aux préoccupations des artistes féministes de cette époque. La première partie de l’exposition retrace ce parcours tout en proposant une relecture du contexte historique, artistique et social de cette période, à l’aune de l’engagement de Liliana Porter et de la communauté d’artistes dans laquelle elle évolue. La seconde partie de l’exposition présente ses installations, dont deux produites spécialement pour les Abattoirs. Présentes dans son art depuis une vingtaine d'années, ces saynètes sont réalisées à partir de figurines populaires et d'objets du folklore contemporain glanés dans les marchés aux puces et au cours de ses voyages, qui se déclinent aussi en peintures et en vidéos. Poursuivant son exploration poétique du réel, Liliana Porter bouscule les codes de la représentation et remet sans cesse en question les processus de création et le pouvoir surréaliste de l’image." (NDM)
**** Tabita Rezaire. Fusion élémen.terre
Première exposition personnelle en France pour découvrir un ensemble d’œuvres inspirées des cultures mégalithiques (Monument préhistorique formé d'un ou de plusieurs blocs de pierre) sénégambiennes et du Brésil.
Les Abattoirs présentent la première rétrospective en France de l’artiste Liliana Porter (née en Argentine en 1941, résidant à New-York depuis 1964). À travers une centaine d’œuvres, l’exposition est conçue comme une traversée de son art. Mêlant œuvres historiques et travaux récents, elle met en évidence une nouvelle généalogie d’artistes femmes qui ont redéfini les limites de l’art conceptuel et ont transformé la poesié de l'installation.
Liliana Porter explore différents médiums, gravure, peinture, sculpture, photographie, vidéo dans lesquels s’inscrit une recherche au long cours sur la perception de la réalité et les notions de temps et d’espace. Sa pratique de la gravure, qu’elle contribue à renouveler dès les années 1960 avec la création du New York Graphic Workshop, est au cœur de son travail. Cette technique redécouverte par les artistes du Pop Art et plébiscité en Amérique latine et du sud pour sa dimension politique, lui permet de porter un regard critique sur la notion d’auteur et de travail collectif, et d’offrir de nouvelles formes de narration. À partir des années 1970 elle se met à la photographie et intègre des images de son propre corps à des dessins notamment muraux, en écho aux préoccupations des artistes féministes de cette époque. La première partie de l’exposition retrace ce parcours tout en proposant une relecture du contexte historique, artistique et social de cette période, à l’aune de l’engagement de Liliana Porter et de la communauté d’artistes dans laquelle elle évolue. La seconde partie de l’exposition présente ses installations, dont deux produites spécialement pour les Abattoirs. Présentes dans son art depuis une vingtaine d'années, ces saynètes sont réalisées à partir de figurines populaires et d'objets du folklore contemporain glanés dans les marchés aux puces et au cours
de ses voyages, qui se déclinent aussi en peintures et en vidéos. Poursuivant son exploration poétique du réel, Liliana Porter bouscule les codes de la représentation et remet sans cesse en question les processus de création et le pouvoir surréaliste de l’image.
Pour sa première exposition monographique en France, l’artiste Tabita Rezaire (née en 1989, vit et travaille en Guyane, France) présente un ensemble d’œuvres à la croisée des nouvelles technologies et des rituels ancestraux. À la fois artiste, agricultrice, professeure de yoga, doula (personne accompagnant les femmes enceintes), Tabita Rezaire propose de faire l’intercesseur entre nous et d’autres voies d’accès au monde. À travers ses installations vidéo, elle réinvente les technologies contemporaines à l’aune des sciences ancestrales pour repenser notre relation au cosmos, en réinvestissant la mémoire corporelle, séculaire comme digitale.
À l’heure du post-Internet elle imagine de nouvelles technologies du lien en invoquant les éléments naturels que sont l’eau, l’air et la terre nourricière, ainsi que les arts de la guérison. Dans ses œuvres, elle apparaît comme une incarnation digitale d’un être cosmique jouant des codes d’Internet et combinant des réalités numérique, corporelle, scientifique et spirituelle à des savoirs traditionnels dans un contexte postcolonial. Parmi ses projets récents, elle a créé le site d’AMAKABA dans la forêt amazonienne en Guyane, conçu comme un espace pluriel où les énergies de la terre (à travers la culture du cacao), du corps (avec les doula et le yoga) et du ciel (observatoire astronomique) fusionnent et donnent naissance à de nouveaux scénarios d'être-au-monde. L’exposition est ainsi pensée comme un voyage multidimensionnel où chaque installation devient un portail par lequel chacun et chacune est invité à restaurer une connexion à l’Univers. (NDM)
********************
TOULOUSE :
MSR : MUSEE SAINT-RAYMOND, MUSEE DES ANTIQUES : 1, Place Saint-Sernins, 31000 Toulouse. Tél : 05.61.22.31.44. TLJ. : 10h/18h et juin/Septembre : jusqu'à 19 heures.
********************
TOURCOING :
LE FRESNOY STUDIO NATIONAL DES ARTS CONTEMPORAINS : 22 rue du Fresnoy, 59200 Tourcoing. Tél : 06.70.56.63.24.
********************
TOURCOING :
MUba EUGENE LEROY : 2 rue Paul Doumer, 59200 Tourcoing Tél : 03.20.28.91.60. TLJ.
Détail des jours fériés : fermeture le 1er janvier, 10 avril (lundi de Pâques), 1er mai, 8 mai, 18 mai (jeudi de l'Ascension), 29 mai (lundi de Pentecôte), 14 juillet, 15 août, 1er novembre, 11 novembre et le 25 décembre.
**** GREGOR BOZIE ET LEONARD MARTIN : « Rêver debout »
« le MUba Eugène Leroy de Tourcoing et Le Fresnoy-Studio national des arts contemporains présentent « Rêver debout ». Dans cette exposition deux artistes contemporains Gregor Božič et Léonard Martin, diplômés du Fresnoy en 2021 et 2017, rencontrent les collections du musée dans deux espaces respectivement consacrés au paysage et au corps, où les œuvres ont été choisies avec les artistes de façon à faire apparaître des liens évidents ou plus souterrains avec leur travail.
paysans, la culture des fruits échappe encore à la rationalisation industrielle. Léonard Martin vient de la peinture et du dessin et bricole par le cinéma, l’assemblage et le langage une nouvelle mobilité pour les corps représentés. Tous deux ont conscience de travailler dans le présent avec l’histoire de l’art, et tirent de cette conscience une exigence formelle. « Rêver debout », c’est travailler avec le chaos du monde, bien sûr, mais aussi le recomposer dans l’espace autre qu’est celui de l’œuvre d’art. C’est déployer des récits et des fables à l’aide des images, et ainsi tenter de construire ou de reconstruire un monde.
Le MUba et Le Fresnoy, deux institutions liées par un territoire géographique et artistique
« Rêver debout » au MUba est présentée parallèlement à « Panorama 26. Toute ressemblance avec la réalité n’est pas une pure coïncidence », exposition au Fresnoy des œuvres des diplômés de l’année scolaire 2024-2025. Elle a été pensée avec la précieuse collaboration de Pascale Pronnier, responsable de la programmation artistique du Fresnoy. Elle témoigne de la remarquable qualité des travaux des étudiants issus de cette école nationale basée à Tourcoing, mais aussi de la diversité des recherches artistiques contemporaines (vidéos, photographies, peintures, dessins, etc.).
« Rêver debout » affirme les liens forts qui unissent le MUba et Le Fresnoy, deux structures- laboratoires, ainsi que le soutien du MUba Eugène Leroy à la création contemporaine dans sa variété. Elle s’inscrit dans l’histoire de la collaboration entre les deux institutions : en 1995, le musée accueillait l’exposition « L’Art et le septième art. Collections de la Cinémathèque française », conçue avec la Cinémathèque et Le Fresnoy, qui préfigurait l’ouverture d’une école destinée à confronter le cinéma et les arts plastiques. En 2008, « Les territoires de l’image » découvraient une décennie de création au Fresnoy et en 2016, les deux institutions co- produisaient « Indices d’Orient. Le témoin, la mémoire, le scrutateur » pour l’ouverture de l’Institut du monde arabe à Tourcoing. » (NDM)
Exposition jusqu’au 24 février 2025.
********************
TOURS :
CHATEAU DE TOURS : 25 Avenue André Malraux, 37000 Tours . Tél : 02 47 61 02 95 Mardi/Vendredi 14h/18 h - Week-end 14h15/18h.
********************
TROYES :
PASSAGES. CENTRE D’ART CONTEMPORAIN : 9 rue Jeanne d’Arc, 10000 Troyes. Mercredi/Dimanche : 12h/18h.
**** MARIE-MAM SAI BELLIER : « L’AMOUR EN CAGE » et NADINE MONIN : « Manoeuvre »
« Pour débuter cette nouvelle année, Passages Centre d'Art Contemporain présente deux expositions monographiques consacrées à deux artistes de générations différentes qui s’inspirent d’une nature observée, manipulée, réinterprétée, sans concession et sans filtre : Marie-Mam Sai Bellier et Nadine Monnin.
L’Amour en Cage » trouve sa source au sein d’une résidence à Passages, au printemps 2023, qui permet à Marie-Mam Sai Bellier, avec Clara Pasteau, d’observer l’environnement du Centre d’art dans l’objectif de refondre l’identité graphique de Passages. Très vite, il leur apparait que la mémoire ouvrière et artisanale de Troyes occupe une place importante dans l’histoire de la ville et continue d’irriguer jusqu’aujourd’hui les pratiques et les usages de la population locale. Les formes dessinées pour cette nouvelle identité comportent à la fois une dimension physique, avec des dessins conçus pour être sculptés, et digitale, à partir d’éléments liés à la place d’un centre d’art dans la cité. Le langage symbolique propre à la Ville de Troyes est ainsi réinterprété, pour donner lieu à la charte graphique utilisée par Passages aujourd’hui.
Sélectionnée en 2024 pour une résidence au Centre Européen de Recherche dans les Arts Verriers en Lorraine, elle développe là-bas, dans la lignée de la résidence troyenne, une série de sculptures idéographiques en verre présentées à Passages et à la maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière de Troyes. Grâce aux savoirs faire locaux et à un partage des compétences dans les domaines du textile et des métiers des arts du feu sur le territoire, elle crée des icônes pop, symboliques, poétiques, comme autant de facettes de l’artiste.
Nadine Monnin voyage depuis longtemps, en Europe du Nord, en Amérique centrale, ou encore en Bretagne, où elle photographie dès la fin des années 1990 les grandes marées et plus particulièrement la laisse de mer. Ainsi, des coquillages, des petits animaux marins, du bois flotté, viennent se mélanger aux algues qui forment des amas sur les plages du Finistère, et dans lesquels l’artiste vient prélever des close-up presque abstraits, reformant des petits paysages contenus dans le format d’œuvres présentes à Passages.
Depuis une vingtaine d’années, elle imprime ses images à la gomme bichromatée avec une émulsion photosensible, la photographie originale n’étant plus qu’une étape lui permettant de faire évoluer ses négatifs en processus complexes. Dans les tirages présents ici, plusieurs passages sont nécessaires et combinent une technique du 19ème siècle et le numérique. Le résultat, toujours incertain, est composé de bichromate de potassium et de pigment en poudre. (NDM)
Exposition du 11 janvier au 8 février 2025.
********************
VALLAURIS :
MUSEE MAGNELLI DE LA CERAMIQUE : Place de la Libération, 06220 Vallauris. Tél : 04.93.64.71.83. Fermé le mardi. Lundi et Mercredi/Dimanche : 10h/12h15 et 14h/17h.
********************
VALLAURIS :
MUSEE NATIONAL PICASSO : Place de la Libération, 06220Vallauris. Tél : 04.93.64.71.83. TLJ. sauf mardi et 1er mai : 10h/12h15 et 14h/17h.
********************
VERDUN. FLEURY-DEVANT-DOUAUMONT :
MEMORIAL DE VERDUN Champ de bataille : 1 avenue du Corps Européen 55100 Fleury-devant-Douaumont Tél. +33 (0) 3 29881916
Les trois sites sont ouverts tous les jours.
De février à mi-avril et de mi-septembre à décembre : Mémorial de Verdun, de 9h30 à 17h30 ; Forts de Douaumont et Vaux, de 10h à 17h30
De mi-avril à mi-septembre : Mémorial de Verdun, de 9h30 à 18h30 ; Forts de Douaumont et Vaux, de 10h à 18h30
********************
VEZELAY :
MUSEE ZERVOS : rue Saint-Étienne 89450 Vézelay. Tél. 03 86 32 39 26
Ouverture du 15 mars au 15 novembre : 10 h/18 h (dernières entrées à 17 h 20).TLJ. sauf le mardi (juillet et août: tous les jours).
********************
VICQ-SUR-BREUILH :
MUSEE ET JARDINS CECILE SABOURDY : Le Presbytère. rue Chavaud - 87260 Vicq-sur-Breuilh. Tél : 05 55 00 67 73. Mardi/Samedi : 10h/12h et 14h/18h. Dimanche: 14h/18h.
********************
VIENNE :
LA HALLE DES BOUCHERS. CENTRE D'ART CONTEMPORAIN : 7 rue Teste du Bailler, 38200 Vienne : Tél : 06 12 81 03 92. Mercredi/Dimanche : 13h/18h.
********************
VILLENEUVE D'ASCQ :
LaM : Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut : 1 allée du Musée, 59650 Villeneuve d’Ascq. www.musee-lam.fr T. : +33 (0)3 20 19 68 68. Mardi/Dimanche : 10h/18h. Fermeture les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai.
********************
VILLEURBANNE :
INSTITUT D'ART CONTEMPORAIN : IAC : 11 rue du Docteur Dolard, 69100 Villeurbanne. Tél : 33478034700. TLJ. Sauf lundi et mardi : Mercredi/Vendredi : 14h/18h. Samedi/Dimanche : 13h/19h.
********************
VITRY-SUR-SEINE :
MAC/VAL, musée d’art contemporain du Val-de-Marne : Place de la Libération, 94400 Vitry-sur-Seine. Tél. : 01 43 91 64 20. TLJ. sauf le lundi. : Mardi/Vendredi : 10h/18h. / Samedi et Dimanche : 12h/19h. Clôture des caisses 30 minutes avant la fermeture du musée. Fermeture les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
Le jardin Ouvert tous les jours sauf le lundi : Mardi/Vendredi : 9h/18h. Week-end : 9h/19h.
********************
YERRES :
MAISON CAILLEBOTTE ORANGERIE : 8 rue de Concy, 91330 Yerres.