PARIS : 

BNF : BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE : Quai François Mauriac, 75706 Paris. Tél : 01.53.79.59.59. Mardi/Samedi : 10h/19h. Dimanche :  13h/19h (fermeture des caisses à 18h) Fermé le lundi et les jours fériés : 31 décembre et 1er janvier / dimanche de Pâques /1er et 8 mai / jeudi de l'Ascension / dimanche de Pentecôte / 14 juillet / 15 août / 1er et 11 novembre / 24 et 25 décembre. Fermeture annuelle des sites parisiens (François-Mitterrand, Richelieu et Louvois, Bibliothèque de l'Arsenal et Bibliothèque-musée de l'Opéra) : du 1er au 10 septembre 2017 inclus.

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PARIS : 

CENTRE HOSPITALIER SAINTE-ANNE : 1 rue Cabanis, 75014 Paris. Mercredi/Dimanche : 14h/19h.

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PARIS :

CENTRE POMPIDOU : 4 rue Aubry le Boucher, 75004 Paris. Tél : 01.44.78.12.33

Accès : 111, rue Saint-Martin, 75004 Paris Code : 37 A 94 Escaliers C, sur la gauche dans la cour,

Horaires : Tous les jours, sauf le mardi et le 1er mai. Musée et Expositions : 11h/21h (fermeture des caisses à 20h).

Les expositions de la galerie 1 et 2 bénéficient d'ouvertures en nocturne le jeudi jusqu'à 23h

Atelier Brancusi : 14h à 18h, du mercredi au lundi

Bpi : du lundi au vendredi (sauf mardis) de 12h à 22h, week-end de 11h à 22h

**** ROBERTA GONZALEZ : 

 

Pour la première fois, le Centre Pompidou met à l’honneur Roberta González (1909-1976), artiste franco-espagnole active sur la scène parisienne et internationale à partir des années 1930. un ensemble de peintures, dessins, livres illustrés, objets d’art et pièces d’archives est présenté à l’occasion d’une donation de tableaux et dessins de la succession de l’artiste, qui viennent enrichir les œuvres acquises par le musée du vivant de l’artiste.                

D’une grande variété stylistique et technique, les œuvres de Roberta González portent principalement sur la figure féminine, déclinée en plusieurs identités et formes. Qu’elles soient naturalistes ou avant-gardistes, peintes ou dessinées, angoissées ou stoïques, ses paysannes, maternités et portraits portent tous un regard saisissant, teinté de nostalgie, et quelque peu méfiant, mais déterminé, qui scrute, qui questionne, qui analyse, à la manière de l’artiste elle-même, qui chemine vers sa voie artistique personnelle dans un monde chamboulé.

Les œuvres présentées au Centre Pompidou, datant principalement de la période 1935-1954, ouvrent une fenêtre sur une époque charnière dans la vie et l’œuvre de l’artiste. Ses femmes en postures tordues, dont la détresse s’accentue par leurs volumes éclatés et leurs formes distordues, sont sa réponse à la guerre qui frappe d’abord l’Espagne, pays d’origine de la famille González, avant de devenir une conflagration mondiale qui atteindra plus directement Roberta González et sa famille en France.      

Après la guerre, Roberta González cherche sa place sur la scène parisienne où tout avait changé. Pour aller vers l’avant, elle délaisse progressivement l’ombre de la guerre pour s’affirmer à la lumière de son style purement personnel. Celui-ci sera basé sur la dualité et les contrastes — ombre/lumière, figuration/abstraction, statisme/mouvement, obscurité/couleur, nostalgie/joie —, à l’image de l’artiste elle-même, à la fois française et espagnole, créatrice et promotrice de l’œuvre de son père, de caractère espiègle et joueur, mais aussi hautement sensible. La sélection d’œuvres de Roberta González sera enrichie de documents d’archives personnelles de l’artiste, des photographies, des dessins d’enfance et un extrait de son journal personnel inédit.

Pour mieux représenter la communauté créatrice à laquelle Roberta González faisait partie lors de la réalisation des œuvres exposées, elles sont présentées en dialogue avec une poignée d’œuvres de Julio González, son père, et du peintre abstrait allemand Hans Hartung, son premier mari. La longévité exceptionnelle de l’exposition qui durera un an donnera cours à un roulement des œuvres, permettant au public d’en optimiser leur découverte".  (NDM)

Exposition jusqu'au 9 mars 2025.

**** CREATION DE LEIPZIG : Gustav Sonntag, Sebastian Hosu, Rachel von Morgenstern et Saeite en collaboration avec Kathrin Thiele, Lorin Brockhaus. « No straight lines »

 

"Le 24 Beaubourg consacre son espace de 330 m2 à quelques pas du Centre Pompidou à la jeune création de Leipzig à travers une exposition collective hybride présentant diverses formes d’arts : arts visuels, ballet et musique électronique. En partenariat avec les galeries lipsiennes Galerie Philipp Anders et Saeite, l’exposition « No Straight Lines » réunira le travail de cinq artistes visuels  contemporains : Gustav Sonntag, Sebastian Hosu, Rachel von Morgenstern, Saeite en collaboration avec Kathrin Thiele et Lorin Brockhaus.

“Peindre après. Après le Traité de Paris (1947). Après l’École de Leipzig. Après la chute du Mur de Berlin (1989). Après la Nouvelle école de Leipzig. Tel est le défi de ceux qui aujourd’hui viennent exposer à Paris. Emmenés par Gustav Sonntag, Kathrin Thiele, Sebastian Hosu et Rachel von Morgenstern suivent l’exemple de leurs prestigieux aînés et portent en France la voix d’une jeune peinture qui endosse son histoire et s’en émancipe dans un même élan.

L’histoire picturale de Leipzig est profondément marquée par son Académie des beaux-arts, la Hochschule für Grafik und Buchkunst (HGB), l’une des plus anciennes écoles d’art d’Europe. Fondée en 1764, l’institution n’a cessé de former des artistes de renom et de promouvoir une approche rigoureuse de l’art. Refuge pour la liberté d’expression artistique même sous le régime est-allemand, elle est un espace d’exploration pour ceux que les voies alternatives tentent, sans pour autant renoncer à une formation technique solide. Terreau fertile, elle est au cœur du réacteur artistique de la ville.

Mais un petit tour dans la machine à remonter le temps s’impose. Nous sommes au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et Leipzig se réveille à l’Est. Un mur sépare désormais l’Europe. Réputée pour son université, son centre d’édition, et avoir su retenir Bach jusqu’à sa mort, la très culturelle Leipzig doit se plier aux règles du communisme. Sans surprise, c’est à l’Académie des beaux-arts qu’une forme de résistance s’organise. Nous sommes désormais dans les années 1960-1970, l’École de Leipzig a décidé de se faire un nom. Tout en répondant aux exigences du réalisme socialiste, des artistes, comme Bernhard Heisig, Wolfgang Mattheuer, Gerhard Kurt Müller et Werner Tübke, réussissent à établir une distance critique vis-à-vis du régime. Sous couvert d’un traitement réaliste, leurs scènes d’histoire déploient une charge symbolique et une dimension allégorique propres à camoufler bien des discours subversifs. Et, devenus enseignants, ils s’empressent de former la relève.

1989, le Mur de Berlin cède. 1990, l’Allemagne se réunifie. Leipzig revient sur le devant de la scène et confirme le peintre Arno Rink en tant que directeur de la HGB. Également professeur, il sera très influent. La nouvelle génération de peintres, non seulement ne renonce pas au savoir-faire, mais se distingue par l’affirmation d’une peinture figurative alors même que l’art conceptuel et l’installation dominent partout ailleurs. Des figures comme Neo Rauch, Matthias Weischer et Tilo Baumgärtel fusionnent les styles, intègrent des influences surréalistes, expressionnistes, et même pop, tout en maintenant une rigueur technique. En 1999, le galeriste Gerd Harry Lybke prend le pari de présenter le travail de Neo Rauch à l’Armory Show de New York. Le monde de l’art s’emballe. Les critiques évoquent Chirico et Magritte, la palette de couleurs de l’artiste surprend. Les idées reçues sur le « bloc de l’Est » tombent.

Tous les regards se tournent alors vers Leipzig et plus précisément vers la Baumwollspinnerei, une ancienne filature de coton fermée en 1992, qui abrite l’atelier de Neo Rauch comme ceux de nombreux autres artistes. Le nouveau millénaire s’annonce bien et la renommée de la Nouvelle École de Leipzig (NEL) s’envole. Les amateurs d’art se pressent désormais dans l’ancienne usine, qui abrite aujourd’hui une centaine d’ateliers, une dizaine de galeries et espaces d’exposition. La NEL n’a pas fait qu’affoler le marché de l’art, elle a rouvert la voie de la peinture figurative. Neo Rauch est désormais une « légende » de l’art contemporain, presque un classique.

Alors, que faire quand on est peintre aujourd’hui à Leipzig ? L’exposition présentée au 24Beaubourg s’aventure à proposer une réponse plurielle. Si l’on cherche à ordonner cette présentation et au-delà de la découverte de singularités fortes, Gustav Sonntag est celui qui endosse avec le plus de fermeté l’héritage de la Nouvelle École de Leipzig. Des scènes de vie ordinaire extraites d’un chaos quotidien arrêtent le regard. Tantôt usant du plan large, tantôt du plan serré, le peintre livre un récit fragmenté, décousu avec une volonté évidente de créer une narration illisible et foisonnante, projetant sur la toile un espace social éclaté aux logiques brisées. Procédant par collage, sorte de cadavre exquis de situations et de formes, Sonntag donne à voir une société du télescopage. Dans un flux incessant, situations et images entrent en collision. Les scènes se succèdent comme autant d’actions individuelles, sans liens les unes aux autres. Elles existent côte à côté, réunies par la seule volonté du peintre. Avec une grande maîtrise, tout en jouant la spontanéité du geste, il explore une foultitude d’effets visuels qui tordent l’espace-temps de la toile. Avec Sonntag, la peinture est première. Elle se sert de l’époque, plonge dans ses individualismes et ses contradictions, et en dresse un tableau aux fulgurantes accélérations.

Tous les regards se tournent alors vers Leipzig et plus précisément vers la Baumwollspinnerei, une ancienne filature de coton fermée en 1992, qui abrite l’atelier de Neo Rauch comme ceux de nombreux autres artistes. Le nouveau millénaire s’annonce bien et la renommée de la Nouvelle École de Leipzig (NEL) s’envole. Les amateurs d’art se pressent désormais dans l’ancienne usine, qui abrite aujourd’hui une centaine d’ateliers, une dizaine de galeries et espaces d’exposition. La NEL n’a pas fait qu’affoler le marché de l’art, elle a rouvert la voie de la peinture figurative. Neo Rauch est désormais une « légende » de l’art contemporain, presque un classique.

Alors, que faire quand on est peintre aujourd’hui à Leipzig ? L’exposition présentée au 24Beaubourg s’aventure à proposer une réponse plurielle. Si l’on cherche à ordonner cette présentation et au-delà de la découverte de singularités fortes, Gustav Sonntag est celui qui endosse avec le plus de fermeté l’héritage de la Nouvelle École de Leipzig. Des scènes de vie ordinaire extraites d’un chaos quotidien arrêtent le regard. Tantôt usant du plan large, tantôt du plan serré, le peintre livre un récit fragmenté, décousu avec une volonté évidente de créer une narration illisible et foisonnante, projetant sur la toile un espace social éclaté aux logiques brisées. Procédant par collage, sorte de cadavre exquis de situations et de formes, Sonntag donne à voir une société du télescopage. Dans un flux incessant, situations et images entrent en collision. Les scènes se succèdent comme autant d’actions individuelles, sans liens les unes aux autres. Elles existent côte à côté, réunies par la seule volonté du peintre. Avec une grande maîtrise, tout en jouant la spontanéité du geste, il explore une foultitude d’effets visuels qui tordent l’espace-temps de la toile. Avec Sonntag, la peinture est première. Elle se sert de l’époque, plonge dans ses individualismes et ses contradictions, et en dresse un tableau aux fulgurantes accélérations.

Kathrin Thiele résout l’équation différemment. Sa peinture flirte avec une abstraction aux évocations scientifiques. Ses formidables Astraphobia flottent dans un espace aux couleurs irréelles. Tels des animaux-plantes, elles colonisent un monde d’après à l’atmosphère envoûtante et vénéneuse. Chacune d’elles porte un nom : celui d’un personnage de film ou de roman qui s’éloigne des chemins rebattus jusqu’à choisir l’inconnu au risque de s’y perdre. Métaphore peut-être de la pratique picturale exploratoire de l’artiste. L’utilisation de peinture acrylique et de vernis lui permet d’imposer des formes ciselées dans un fond au geste plus libre, au mouvement moins contenu. Sur le verre, la dynamique s’accélère et la peinture s’éloigne de la forme réfléchie pour laisser s’exprimer le rythme de la main : explosions de couleurs comme autant d’étoiles dans le cosmos. La lumière, qui sourd des profondeurs du tableau (réalisé en collaboration avec Steffen Woyth), aimante le regard. Habitées par une puissance stellaire, les formes y expriment la frénésie de l’univers. Par moment, l’œil croit reconnaître un oiseau, un insecte… comme quand il identifie un scorpion, un taureau… dans le ciel d’une nuit étoilée. Mais le sujet, né de couleurs pulvérisées et grattées, parfois cernées de noir, s’efface pour ne laisser passer qu’une énergie. Thiele en saisit un état sans pour autant jamais le fixer.

 

À cette volonté de courtiser l’invisible, Sebastian Hosu préfère s’astreindre à dompter la matière. Celle de la peinture, qu’il étale, aplatit et mélange par endroits, et celle des corps, qu’il charge de mouvement, d’expression et de vitalité. Ses sportifs à la discipline à peine reconnaissable sont interceptés en plein élan. Le ballet virtuose des pinceaux, racloirs, spatules et autres outils s’exécute dans les airs à un rythme endiablé. Les toiles de grands formats rapportent tant des mouvements amples et lents que des touches vives et rapides. La figure jaillit d’un répertoire de lignes plus ou moins épaisses, tourmentées, et réfléchies. De l’athlète, l’œil ne dégage pas tous les membres. Peu importe, la toile distille des sensations. Nous sommes au cœur de l’effort ou du lâcher prise. L’action éphémère par essence envahit la peinture lui offrant sa vigueur et son punch. Hosu ne choisit pas un camp pictural, il les agrège.

Tendues sur d’imposants cadres, les toiles translucides en polyester de Rachel von Morgenstern déploient un espace pastel et léger à l’instar de ceux que les pinceaux libèrent quand encore pleins de peinture l’enfant les nettoie dans l’eau. Formes évanescentes et apparitions colorées s’appuient sur une écriture noire et s’inscrivent malgré elles dans la géométrie des différents châssis qui les portent. Ces partitions étranges transforment la proposition en une succession de signes aux accents connus mais au phrasé inintelligible. Tel un jeu de mikado, les formes se tiennent entre elles. Tel un vocabulaire, elles incitent à la lecture. Tout se passe alors comme si un message émergeait à la surface de la matière et allait s’évanouir au premier détournement de regard. Le procédé utilisé par l’artiste empêche tout repentir. La première prise se doit d’être la bonne. En joueur de jazz maîtrisant ses standards, Rachel von Morgenstern mise sur l’improvisation pour les sublimer ».(NDM)

 

Exposition du 18 au 26 octobre 2024.

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PARIS : 

CITE INTERNATIONALE DES ARTS : Lily Robert / 18 rue de l'Hôtel de ville, 75004 Paris. Tél : 01.43.70.03.01.Mercredi/Samedi sauf fériés : 14h/19h.

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PARIS : 

FONDATION DUBUFFET : 137 rue de Sèvres, 75006 Parie. Tél : 01.47.34.12.63. Horaires : Du lundi au vendredi (sauf fériés, août) 14h-18h ; fermeture en août.

Fermetures : Lieu fermé le samedi, le dimanche, le 1 janvier, le 1 mai, le 8 mai, le 14 juillet, le 15 août, le 1 novembre, le 11 novembre, le 24 décembre, le 25 décembre, le 31 décembre.

"Durant toute l’année 2024, la Fondation Dubuffet va fêter ses 50 ans d’existence. 

 

"La Fondation présente en ses murs rue de Sèvres, une grande exposition retraçant ses 50 ans d’activités, mettant en lumière la dotation initiale de l’artiste et dévoilant des œuvres majeures de sa collection, axées sur le portrait et la figure. Du 20 au 25 mars 2024, la Fondation Dubuffet est l’invitée d’honneur du Salon du dessin au Palais Brongniart à Paris.

Pour célébrer son cinquantenaire, la Fondation Dubuffet présente du 15 mars au 20 décembre 2024 Fondation Dubuffet : chronique de 50 ans d’activités, une exposition anniversaire scénographiée en trois temps. Après une première salle chroniquant les 50 ans d’activités de la fondation, deux salles sont dédiées à des œuvres majeures de la collection, axées sur le portrait et la figure : dons de l’artiste, legs de sa fille et acquisitions plus récentes. Le parcours de l’exposition se termine par une dernière salle évoquant l’atelier de la Cartoucherie de Vincennes et offrant un coup de projecteur sur la dotation initiale, apport essentiel lors de la constitution de la Fondation. 

À propos de la fondation

La Fondation Dubuffet est sans doute l’une des rares et toutes premières institutions en France dont le fondateur est l’artiste lui-même. Jean Dubuffet a constitué sa propre fondation pour assurer le respect de son œuvre mais également pour maintenir groupé et accessible au public un ensemble significatif de ses travaux. Les statuts de la Fondation Dubuffet ont été signés le 9 août 1973 et elle a été reconnue Établissement d’utilité publique par décret en Conseil d’État le 22 novembre 1974. Jean Dubuffet en assurera lui-même la présidence jusqu’à son décès en mai 1985. Nommée, par testament de l’artiste, titulaire de son droit moral, la Fondation Dubuffet assure le respect du nom de Jean Dubuffet, de sa qualité et de son œuvre. La Fondation est également détentrice des droits patrimoniaux, par legs de la fille de l’artiste, Isalmina Dubuffet, décédée en 2003. La Fondation Dubuffet est établie sur deux sites : l’un à Périgny-sur-Yerres dans le département du Val-de-Marne et l’autre dans le VIe arrondissement de Paris. 

À propos de Jean Dubuffet

Peintre, graveur, sculpteur, architecte et écrivain, Dubuffet est un artiste prolifique. Rétif à toute catégorie, il invente un langage plastique nouveau libre de toute norme établie. Ce n'est qu'en 1942 qu'il se consacre définitivement à l'art. Après avoir célébré l'homme du commun dans une verve enfantine, il explore de nouveaux matériaux (bitume, sable, gravier, fibre végétale). Sa production est jalonnée d'expérimentations multiples regroupées en différents cycles dont le plus long est celui de l'Hourloupe (1962-1974), projection mentale et dématérialisée du monde. (NDM)

 

Exposition du 15 mars au 20 décembre 2024.

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PARIS : 

FONDATION LOUIS VITTON : 8 avenue du Mahatma Gandhi, Bois de Boulogne, 75116 Paris. Tél : 01.40.69.96.00. Lundi/Samedi sauf fériés : 10h/18h.

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PARIS :

GALERIES NATIONALES DU GRAND PALAIS :1 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris. Tél : 01 44 13 17 30.

Mercredi/Samedi : 10h/22h, llundi et dimanche : 10h/20h. Fermeture le mardi et le 25 décembre.

Vacances de la Toussaint du 19 octobre au 2 novembre : tous les jours (sauf le mardi) de 10h à 22h. vacances de Noël du 21 décembre au 4 janvier : tous les jours (sauf mardi) de 9h à 22h.

 Renseignements : Tél : +33 (0)1 44 13 17 17 (serveur vocal)

Des visites guidées de l’exposition (90 minutes) et des ateliers pour enfants (2h en tout avec une visite spéciale) sont aussi organisés.

Métro : Franklin-Roosevelt ou Champs-Elysées-Clemenceau

Bus : lignes 28, 32, 42, 72, 73, 80, 83, 93

Stations Vélib' n° 8029 et 8001

Galerie Sud Est  entrée porte H 

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PARIS :

GRAND PALAIS : 3 avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris. Tél : 01.44.13.17.17. Mercredi/Samedi : 10h/22h. Dimanche et Lundi :10h/20h.

GRAND PALAIS EPHEMERE 

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PARIS :

HALLE SAINT-PIERRE : 2, rue Ronsard - 75018 Paris. Tél. : 33 (0) 1 42 58 72 89.

Attention nouveaux horaires à partir de septembre 2011 : le lundi ouvert de 13h à 18h.

jusqu’à cette date : ouvert tous les jours du lundi au dimanche de 10h à 18h. Fermeture billetterie à 17h30

Expositions temporaires : 7,50€, tarif réduit 6€.

En août : ouverture de 12h à 18h, fermé le weekend.

Fermetures annuelles : 25 décembre, 1er janvier. 1er mai, 14 juillet et 15 août.

**** GILBERT PEYRE : "L'électroanomaniaque"

Et 

**** MALCOM DE CHAZAL

 

Vernissage le mardi 10 septembre à 18h30.

Exposition du 11 septembre 2024 au 19 janvier 2025.

 

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PARIS : 

INSTITUT DU MONDE ARABE : 1, rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris. Tél : 01.40.51.38.38. Mardi/vendredi  : 10h-18h. Samedi/Dimanche : 10h/19h. L'IMA est annuellement fermé le 1er mai.

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PARIS : 

INSTITUT GIACOMETTI : 5 rue Victor Schoelcher, 75014 Paris. Tél : 01.87.89.76.75.Mardi/Dimanche : 10h/18h. Fermé le 1er novembre, le 25 décembre 2019 et le 1er janvier 2020.

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PARIS :

INSTITUT METAPSYCHIQUE INTERNATIONAL : 11 rue Louise Weiss, 75013 Paris.

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PARIS : 

MAISON DE VICTOR HUGO : 6 place des Vosges, 75004 Paris. Tél : : 01 42 72 10 16. Mardi/Dimanche, et certains jours fériés (14 juillet et le 15 août) : 10h/18h. • 17h40 : dernière entrée. Fermé tous les lundis, ainsi que le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre.

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PARIS : 

MUSEE D'ART ET D'HISTOIRE DE L'HOPITAL SAINTE-ANNE(MAHHSA) : 1 rue Cabanis, 75014 Paris. Tél :01.45.65.85.41. Mercredi/Dimanche : 14h/19h.

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PARIS : 

MUSEE D'ART ET D'HISTOIRE DU JUDAÏSME : LE MAHJ : 71, rue du Temple - 75003 Paris

Le musée est ouvert du mardi au vendredi : 11 h/18 h et le samedi et dimanche : 10  h/18 h. Nocturne des expositions le mercredi jusqu’à 21 h et le samedi, dimanche et jours fériés jusqu’à 19 h.

**** LE DIBBOUK FANTOME DU MONDE DISPARU

 

 Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d’un vivant, selon une croyance qui s’est développée en Europe orientale à partir du XVIIIe siècle. Depuis, le dibbouk a dépassé le domaine de la superstition pour devenir un thème inspirant les artistes d'hier et d'aujourd'hui. Le mahJ lui consacre une foisonnante exposition, mêlant théâtre, cinéma, musique, littérature, et culture populaire.

Sh. An-ski à Krzysztof Warlikowsky), cinéma (de la mythique adaptation de Michał Waszyński de 1937 aux frères Joel et Ethan Coen en passant par Sydney Lumet), arts plastiques (de Marc Chagall à Sigalit Landau), musique (Leonard Bernstein), ou encore la littérature (Romain Gary) et la culture populaire.(NDM)

 

Vernissage le 25 septembre de 16h à 21h.

Exposition du 26 septembre 2024 au 26 janvier 2025.

 

**** PAULA PADANI : « La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris

 

« Autour de l'exposition « Paula Padani. La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris »

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers 120 photographies, affiches et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Née à Hambourg et formée à la danse moderne, Paula Padani puise dans son art le moteur d’une existence pourtant marquée dès l’enfance par le décès de ses parents, puis par l’exil.

Dernière étudiante juive de l’école Wigman de Dresde, l’un des foyers de la modernité chorégraphique en Europe, elle rejoint clandestinement la Palestine mandataire en 1936 via la Suisse, l’Italie et la Grèce. La découverte des paysages et cultures du Proche-Orient stimule en elle une féconde veine créative.

Elle ouvre une école de danse à Tel-Aviv et crée un répertoire de solos d’une grande expressivité inspiré par les musiques de Béla Bartók, Marc Lavry ou Alexander Uriyah Boskovich. Avec d’autres danseuses exilées, elle prend part au développement de la scène théâtrale moderne en terre d’Israël.

En 1946, après dix années d’une vie intense au sein de la bohème « palestinienne », elle fait le choix de la diaspora avec son mari, le peintre, dessinateur et décorateur de théâtre Michael Gottlieb, dit Aram. Élisant Paris, le couple occupe successivement plusieurs ateliers successifs et poursuit sa quête artistique. Aram se consacre entièrement à la peinture et noue des amitiés avec nombre d’artistes de l’École de Paris, tandis que Paula continue en Europe et à New York une carrière scénique acclamée par un vaste public.

Entre 1947 et 1948, à l’invitation de l’American Jewish Joint Distribution Committee, elle part en tournée dans les camps de personnes déplacées de la zone d’occupation américaine en Allemagne, pour soutenir les rescapés juifs.

À partir des années 1950, elle se consacre à un enseignement centré sur l’improvisation et l’épanouissement de la créativité individuelle, dans le droit fil des avant-gardes de la république de Weimar.

Paula Padani décède à Paris en 2001, peu de temps après la mort de son mari.

L'exposition redonne vie à cette artiste engagée grâce aux documents présentés, issus de la donation de Gabrielle Gottlieb de Gail, fille du peintre Aram et de Paula Padani. » (NDM)

 

Vernissage le 13 novembre à 17h.

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PARIS :

MUSEE DU LOUVRE :

 36 Rue du Louvre, 75001 Paris. Tél : 01 40 20 58 24 Métro Palais-Royal.

TLJ. : 9h/18h, sauf mardi et fériés suivants : 1er janvier, 1er mai et 25 décembre. La fermeture des salles commence à 17h30.
Nocturnes jusqu'à 22h mercredi et vendredi (fermeture des salles à partir de 21h30). 
Gratuit le premier dimanche de chaque mois (hors exposition du hall Napoléon).
L'accès par la Pyramide et par la Galerie du Carrousel est ouvert de 9h à 22h, sauf le mardi.
Le passage Richelieu est ouvert de 9h à 18h, sauf le mardi.

**** FIGURES DU FOU DU MOYEN AGE AUX ROMANTIQUES 

 

Les fous d’aujourd’hui sont-ils ceux d’hier ?

C’est l’une des nombreuses questions à laquelle l’exposition du Louvre « Figures du fou. Du Moyen Âge aux Romantiques » se propose de répondre à partir du 16 octobre.

À partir du 13e siècle, le fou envahit littéralement tous les espaces de l’art : des marges des manuscrits aux tapisseries, en passant par les tableaux, les gravures et les objets précieux. L’exposition mène l’enquête sur ce personnage emblématique d’une époque de bouleversements, pas si éloignée de la nôtre.(NDM)

 

Exposition du 16 octobre 2024 au 3 février 2025.

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PARIS :

MUSEE DU LUXEMBOURG : 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris. Vendredi/Lundi : 9h/22h. Mardi/Jeudi : 10h/20h

 

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PARIS :

MUSEE DU QUAI BRANLY : 37 QUAI quai Jacques Chirac, 75007 PARIS. TEL : 01.56.61.70.00. TLJ. SAUF LUNDIS, 25 DECEMBRE ET 1ER MAI. Mardi au dimanche, de 9h15 à 19h30, sauf jeudi de 9h15 à 22h15 : 10h30/192/00

**** BARBARA D’ANTUONO : Œuvre textile :  Zombis, la mort n'est pas une fin ? 

 

"Entre savoir et fiction, l'exposition donne à voir les réalités qui se cachent derrière la peur de cet iconique "non-mort". En filigrane, elle explore la construction du mythe dans l'imaginaire collectif occidental, depuis son évocation en 1697 dans le roman de l'écrivain français Pierre-Corneille Blessebois jusqu'au légendaire film de George A. Romero, La Nuit des morts-vivants. (source : site internet du musée)'NDM)

 

Exposition jusqu’au 16 février 2025.

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PARIS : 

MUSEE PICASSO : Hôtel Salé, 5 rue de Thorigny, 75003 Paris. Tél : 01.85.56.00.36. TLJ. Sauf lundi. Samedi/ Vendredi : 10h30/18h. 

 

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PARIS :

MUSEE SINGER-POLIGNAC, CENTRE D'ETUDE DE L'EXPRESSION

CENTRE HOSPITALIER SAINTE-ANNE : 1, rue Cabanis 75014 Paris Tél. : 01 45 89 21 51. Mercredi /Dimanche : 14 h/19 h, nocturnes les jeudis jusqu’à 21 h

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ALENCON :

HOTEL DU DEPARTEMENT DE L'ORNE : 27 boulevard de Strasbourg, 61000 Alençon.  Tél : 06.07.73.40.36. Lundi/Vendredi : 9h/18h. Dimanche : 14h30/18h.

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ANTIBES : 

CHATEAU GRIMALDI : Place Mariejol, 06600 Antibes. Tél : 06.12.81.03.92. TLJ. Sauf les lundis 16 septembre et 14 juin : 10h/13h et 14h/18h.

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ANTIBES : 

FONDATION HARTUNG-BERGMANN : 173 Chemin du Valbosquet, 06600 Antibes. Tél : 04.93.33.45.92. Lundi/Vendredi : 10h/18h.

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AUBUSSON :

CITE INTERNATIONALE DE LA TAPISSERIE : Rue des Arts, BP 89. 23200 Aubusson. Tél : 09.72.48.15.64. 

Tous les jours de la semaine 10 h à 12 h et 14 h à 17 h.

Les week-ends de juin à septembre de 14 h à 17 h.

 

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BARBIZON : 

MUSEE MILLET ET GALERIE L'ANGELUS : 27/36 bis Grande rue Barbizon.

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BEAULIEU-EN-ROUERGUE :

ABBAYE : 1086 route de l'Abbaye, 82330 Ginals 

**** TADEO CERN : 

 

Dans le cadre du programme « Un artiste, un monument » et de la Saison de la Lituanie en France, le Centre des monuments nationaux, l’Institut culturel lituanien et l’Institut français invitent l’artiste lituanien Tadao Cern pour une création in situ à l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue 

Alors qu’à l’instar des abbayes médiévales, l’abbaye de Beaulieu était environnée de terres à céréales et de granges recevant les récoltes, la nouvelle création de l’artiste s’inscrira dans sa série dédiée aux parallélépipèdes monumentaux de graminées. Installée dans le chœur de l’abbatiale, cette œuvre intitulée L’Adieu élève un rectangle semé de blé vers la cime de l’église. L’artiste convie ainsi les visiteurs dans un espace introspectif, les invitant à considérer la notion d’adieu, faisant écho à la vocation religieuse de l’édifice. « Émettant une douce lueur, les herbes à longues tiges renvoient à la nature organique, au cycle du vivant et au désir existentiel de l’homme confronté au vieillissement et à la mort. J’ai tenté d’imaginer les dernières images précédant notre trépas. À mon avis, ce serait quelque chose de simple, de banal, comme l’évocation d’un champ de blé au coucher du soleil... Ce lieu commun demeure une image puissante et profonde. Ainsi, ce ciel duveteux que je suspends dans la nef est-il appelé à donner le sentiment de flotter, de voguer, d’être transporté vers les nuées ».Tadao Cern

 

Exposition du 7 juillet 2024 au 5 janvier 2025

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BEDARIEUX : 

ESPACE D'ART CONTEMPORAIN : Maison des Arts - Espace Henri Pujol  19 avenue de l'Abbé Tarroux - 34600 Bédarieux. Mardi : 14h/18h, Mercredi : 9h/12h et 14h/18h. Jeudi : 9h30/12h et Vendredi et Samedi : 9h30/12h et 14h/18h. 

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BEGLES :

MUSEE DE LA CREATION FRANCHE : 58, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 33130 BEGLES. Tél : 05-56-85-81-73. 

LE MUSEE EST ACTUELLEMENT FERMÉ.

ACQUISITION 

 

En 2023, l'association Empreintes et Arts a fait don au musée de la Création Franche de son fonds de collection soit 114 oeuvres de Etienne André, Anne Brugidou, Vanina Desanges, Delphine Desecures, Diopar, Ariane Khalfa-Diallo, Anne Laboisette, Annie Laurenceau, Jean Laurenceau, Sonia Lawniczak, Caroline Mac Donald, Alexis Moreau, Nabila, Renaud Philippot, Rachel, Laurence Renaud, Isabelle Rollier, Nicole Stahl, Gabriel Watmann.

 

EN CHANTIER : 

Le 24 septembre 2024, le musée de la Création Franche a fêté la pose de la première pierre. Un moment hautement symbolique, convivial et créatif pour marquer le début des travaux d'extension et de rénovation du musée. Désormais, le chantier est lancé !

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BIRON : 

CHATEAU : 24540 Biron. Tél : 05.53.63.13.39. Du 05 février au 08 avril : 10h/ 12h30 et 14h/17h30. Du 09 avril au 06 juillet : 10h/13h et 14h/18h. Du 07 juillet au 26 août : 10h/19h. Du 27 août au 06 novembre : 10h/13h et 14h/18h. Du 7 novembre au 31 décembre : 10h/12h30 et 14h/17h. Dernière admission : 1h avant la fermeture. Fermé le lundi (hors vacances scolaires et jours fériés)

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BOURGES : 

PALAIS JACQUES CŒUR : 10 bis rue Jacques Cœur, 18000 Bourges. Tél : 02.48.24.79.42. Lundi à dimanche : 10h00 - 12h15 et 14h00 - 18h00. Fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre, et 25 décembre.

**** DANIEL DEWAR ET GREGORY GICQUEL 

 

« Le duo d’artistes franco-britannique Daniel Dewar & Grégory Gicquel propose une installation conçue pour la salle des festins du palais Jacques Coeur de Bourges, comprenant un ensemble de sculptures caractéristiques de leur pratique récente et en dialogue avec le lieu et son contexte historique. Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la 5e édition de Bourges Contemporain 2024 qui aura lieu du 7 juin au 22 septembre 2024. Parmi ces sculptures, des pichets en grès prennent la forme d’un pied agrémenté d’une anse, un motif récurrent dans le travail du duo depuis plusieurs années. Une jarre voit sa surface recouverte de torses luisants qui se démultiplient et sur lesquels se découpent des escargots. Face à l’opulence du palais, à ses cheminées monumentales ouvragées et à ses nombreux ornements, qui jadis faisait état de la richesse du propriétaire, accumulée grâce au commerce et à l’impérialisme naissant, Dewar & Gicquel nous invitent, héritiers de ce passé, à renégocier et à repenser notre manière d’habiter le monde, le tout avec joie et humour. » (NDM)

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BOURGES : 

CENTRE D'ART TRANSPALETTE : 26 route de la Chapelle, 18000 Bourges. Tél : 02.48.50.38.61. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

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 BROU : 

MONASTERE ROYAL :63 boulevard de Brou, 01000  Brou. Tél : 04.74.22.83.83. TLJ. sauf fériés : 9h/12h et 14h/17h. 

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CAEN : 

MUSEE DES BEAUX-ARTS : Le Château, 14000 Caen. Tél : 02.31.30.47.60. TLJ. sauf mardi :  9h30/18h. 

Fermé le 1er janvier, dimanche de Pâques, 1er mai, Ascension, 1er novembre et 25 décembre.

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CANNES :

ANCIENNE CHAPELLE SAINT-ROCH  : 18 Avenue Saint-Roch, 13930 Aureille 

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CANNES : 

POLE ART MODERNE ET CONTEMPORAIN (PAMoCC) : 47 boulevard de la Croisette, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.45.21. Lundi/Vendredi : 9h/17h.

**** KEHINDE WILEY, OLIVIER MASMONTEIL ET LOUIS CANE

"Déployée sur trois lieux, la programmation d'art contemporain de la Ville de Cannes pour l'été 2020 témoigne de la volonté de montrer les diverses facettes de la création contemporaine. Trois artistes vivants, deux générations, deux continents, tous viscéralement attachés au langage de la figuration, mais qui cherchent à en repousser les limites : le parcours d'art contemporain cannois propose, à travers ces trois expositions profondément différentes, des approches à la fois radicales et complémentaires de l'art de notre époque." (NDM)

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CANNES : 

CENTRE D'ART LA MALMAISON : 47 boulevard de la Croisette, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.45.21. Lundi/Vendredi : 9h/17h.

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CANNES : 

LA VILLA DOMERGUE : 15 avenue Fiesole 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.44.90. Ouvert uniquement pendant l'exposition d'été.

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CANNES : 

LE SUQUET DES ARTISTES : 7 rue Saint-Dizier, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.44.90.  Tous les week-ends. : 10h/ 13h et 14h /18h.

**** FLORENCE OBRECT : « Odyssée »

 

La Mairie de Cannes présente au Suquet des Artistes l’exposition Odyssée consacrée à la peintre Florence Obrecht. Cette exposition permettra d’envisager dans son entièreté la pratique de cette artiste, toujours avide d’expérimentation. Le parcours fera voyager les visiteurs dans son univers, à travers des galeries de portraits, installations et œuvres participatives.

Florence Obrecht, Emilie (d’après « deux femmes » attribué à Leonor Fini), 2022, huile sur bois, 70 x 50 cm © Adagp Paris 2024 Fabrice Robin / Florence Obrecht, Faire des Picasso (Pascale), 2021, huile sur bois, 110 x 80 cm © ADAGP, Paris, 2024 Fabrice Robin

« Les choses sont des existences immergées dans une autre réalité, là où il n’y a ni temps ni mouvement. Nous ne voyons que leur surface. Or c’est le reste, plongé dans l’ailleurs, qui détermine la signification et le but de chaque objet. Un moulin à café, par exemple. Le moulin à café est un morceau de matière auquel a été insufflée l’idée de la mouture. Les moulins moulent, et c’est pourquoi ils existent. Mais nul ne sait quelle est la signification générale d’un moulin. Nul ne connaît la signification générale de quoi que ce soit. » 

Olga Tokarczuk, Dieu, le temps, les hommes et les anges.

Boites en fer, miroirs, tissus, la forme des œuvres présentées dans les salles du Suquet des artistes peut surprendre les visiteurs. Florence Obrecht mélange les supports, joue avec les matières et transforme les objets. Elle récupère pièces, fragments et étoffes de ses pérégrinations et les intègre à son travail. Ainsi, au delà d’une addition de toiles de formats divers, cette exposition dévoile un assemblage de choses qui, malgré leur hétérogénéité, semblent former un univers cohérent. Cette accumulation hétéroclite est au coeur même du travail de l’artiste et en révèle un élément essentiel : le voyage. Cette notion est en effet incontournable pour appréhender pleinement l’oeuvre de la peintre. 

Florence Obrecht, Jabea Mulema, 2024, Huile sur boite en métal ancienne, 22,5 x 25,5 cm © Adagp Paris 2024 Fabrice Robin

Que ce soit pendant son apprentissage de la peinture ou au cours de résidences, la peintre a posé ses outils dans de nombreux pays. Ces séjours, où elle s’est imprégnée de cultures nouvelles, transparaissent dans son œuvre. De la Sicile à la Bulgarie, en passant par les Etats-Unis ou l’Arménie, les traditions auxquelles elle s’est confrontée se mélangent pour créer un univers singulier. Loin de l’observatrice passive et en retrait, Florence Obrecht part à la rencontre des gens, découvre mythes, légendes et traditions et se plonge dans des pratiques artistiques différentes. Toutes ces expériences trouvent écho dans son œuvre tant matériellement que spirituellement. Ainsi, rapportant de ses séjours des accessoires, breloques, morceaux de tissus, elle constitue une collection bigarrées de souvenirs sensibles ; sortes de talismans qui, au-delà de leur utilité première, transportent avec eux un peu de la magie dont ils sont les porteurs. Cependant le cabinet de curiosité contemporain qui se dessine sous nos yeux ne témoigne pas seulement des contrées parcourues par l’artiste mais semble dévoiler un univers étrange, à la fois familier et inconnu, situé à la frontière entre réalité et imaginaire. Ces objets deviennent, grâce à l’artiste, les témoins d’un monde mystérieux. Ils ouvrent une fenêtre sur l’univers intime de la peintre. En les transformant et les intégrant à son oeuvre l’artiste leur donne un sens nouveau. Se saisissant de tout ce qui l’entoure, sans porter de jugement sur leur valeur, la peintre réenchante le quotidien, sublime l’ordinaire et tend à changer notre regard sur les choses et leur signifiant. Cependant, Florence Obrecht ne récupère pas seulement des éléments physiques pour les utiliser comme nouveau support pour sa peinture. Tels les peintres itinérants qui parcouraient l’Europe de l’Est au XIXe siècle, la peintre constitue une galerie de portraits issus de ses rencontres. Ainsi, elle porte la voix de populations peu représentées et révèle des cultures diverses. Ses peintures intègrent ses découvertes. Ici une coiffe, là une étoffe, autant de témoignages des rencontres qu’elle a faites. Son œuvre illustre donc, un monde à la fois réel et onirique né de l’assemblage d’éléments disparates capturés le long de son chemin ».(NDM)

 

Exposition Du 12 octobre 2024 au 16 février 2025.

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CASTRES : 

MUSEE GOYA : CHATEAU : rue de l'Hôtel de Ville. 81108 Catres. Tél : 05.63.71.59.27. 

Horaires : D'octobre à mai, hors vacances scolaires (zone C) : Du mardi au dimanche de 10h à 17h

De juin à septembre et vacances scolaires (zone C) : Tous les jours de 10h à 19h

Fermeture : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre, 25 décembre

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CERET : 

MUSEE D'ART MODERNE : 8 boulevard Maréchal Joffre, 66400 Céret. Tél : 06.75.83.56.94. Mardi/Dimanche : 10h/18h.

**** MAX JACOB, LE CUBISME FANTASQUE

 

"L'exposition dresse un portrait renouvelé de l’une des plus importantes figures de la modernité picturale et littéraire de la première moitié du XXe siècle. Le parcours explore la fantaisie et les paradoxes d’une personnalité aux multiples facettes se situant au cœur de la galaxie cubiste.

À la fois poète, peintre, critique, romancier et épistolier à l’origine de l’une des plus riches correspondances de son temps, Max Jacob est l’un des premiers soutiens de Pablo Picasso lorsque le peintre arrive à Paris en 1901. Il est également le témoin privilégié de la naissance du cubisme en 1907, puis de l’éclosion du cubisme synthétique auquel lui aussi participe. Aux côtés d’Eva Gouel, de Pablo Picasso et de Manolo à Céret en 1913, l’artiste réalise un exceptionnel ensemble de dessins et de gouaches qui reflètent ses expérimentations cubistes.

Artiste prolifique, le poète s’empare du cubisme pictural pour le traduire en littérature. « Le cubisme en peinture est l’art de travailler le tableau par lui-même en dehors de ce qu’il représente [...] ne procédant que par allusion à la vie réelle. Le cubisme littéraire fait de même en littérature, se sert seulement de la réalité comme d’un moyen et non comme d’une fin » écrit-il en 1917.

Recourant aux calembours et à la satire, Max Jacob place sa poésie dans l’aire du jeu pour exprimer ses réflexions sur l’existence. La légèreté et la gravité apparaissent indissociables dans son œuvre comme dans sa vie.

L’exposition met en lumière cette dualité propre à l’artiste, en parcourant son rapport au monde du spectacle vivant, mais aussi à l’ésotérisme et à la religion. Grand amateur de théâtre et de cirque, son œuvre reflète le bouillonnement culturel du début du siècle. Animé par une profonde spiritualité, Max Jacob cultive plusieurs croyances astrologiques qu’il fait dialoguer à sa foi chrétienne. 

Forte de plus de 120 pièces parmi lesquelles plusieurs documents inédits, l’exposition réunit les travaux de Max Jacob et de ses contemporains, de Pablo Picasso à Juan Gris, en passant par Manolo, Jean Metzinger, Marie Laurencin, Jean Cocteau, Marie Vassilieff, Alice Halicka, Serge Férat, ou encore la baronne d’Oettingen.

À l’occasion du quatre-vingtième anniversaire de la déportation et de la mort de l’artiste au camp de Drancy, la proposition du musée d’art moderne de Céret présente la vie et l’œuvre de celui qui n’a « jamais poli » son style, entre littérature et arts graphiques, à travers ses collaborations avec les plus grands peintres, poètes, intellectuels et musiciens de son temps." (NDM)

 

Exposition du 29 juin au 1er décembre 2024.

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CHAMARANDE : 

CHATEAU : 38 rue du Commandant Maurice Arnoux, 91730 Chamarande. Tél : 01.60.82.52.01. Lundi/Dimanche : 9h/18h.

"Déployée dans l’ensemble des espaces d’exposition du château, cette nouvelle exposition offre une traversée au sein de neuf univers artistiques  qui, chacun à leur manière, illustre une relation particulière à la notion de « territoire ».

Que ce soit par le dessin, la peinture ou la sculpture, mais aussi par la performance, la vidéo ou un travail textile, chaque artiste invite le visiteur à s’immerger dans une nouvelle forme de « territoire », qui ne se laisse pas enclore dans les catégories traditionnelles. Le rêve et le réel, le vécu et le mémoriel, le sensible et l’intelligible, l’espace et le temps s’agencent dans leurs œuvres au sein de nouvelles constellations, brèves et inédites." (NDM)

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CHAMBORD : 

DOMAINE NATIONAL : 41250 Chambord. Tél : 02.54.50.40.00

**** JULIEN DES MOUSTIERS : "Dehors dedans"

 

" les œuvres de Julien des Monstiers animent les murs de Chambord de motifs contemporains issus d’un passé lointain. La construction minutieuse des œuvres à travers la superposition d’aplats de couches de peinture fait coexister différentes temporalités dans un même espace. Des images brouillées se recomposent en un entrelacs de motifs et de couleurs dominées par le couple complémentaire orange et bleu.

La démarche consiste en un travail autour de la peinture, Julien des Monstiers adopte des formes et des gestes empruntés aux grands récits, mais aussi à l’histoire de ses motifs : scènes de chasse, décors floraux, tapisseries, avec une certaine prédilection pour les scènes animalières. L’artiste travaille ses tableaux avec la technique du report : il peint ses dessins sur une plaque de plexiglas puis, via un premier transfert de la peinture encore fraîche sur un papier cristal, reporte le motif obtenu sur la toile par pression dans d’incessants allers-retours.

Grâce à son approche virtuose et novatrice de la peinture à l’huile, Julien des Monstiers est aujourd’hui considéré comme une figure montante de l’art contemporain.

« Avec Julien des Monstiers, c’est l’un des peintres les plus doués de sa (jeune) génération que le Domaine national de Chambord invite à exposer sous les voûtes à caissons et dans les salles adjacentes du second étage du château. Un peintre dont les motifs rencontrent très évidemment l’esprit des lieux : que ce soient ses tableaux animaliers, ses scènes de chasse, parfois empruntées à de grands artistes du passé comme Oudry, ou encore ses tapis ou tapisseries, les œuvres de Julien des Monstiers résonnent de façon très étroite avec les murs du château, sa décoration ou son activité cynégétique. 

C’est à cette rencontre qu’invite l’exposition. Elle permet aux visiteurs de se familiariser avec une technique particulière, faite d’ajouts de différentes couches de peinture, pour donner à voir le travail d’un coloriste hors pair. Colorés, balafrés, denses et énigmatiques, les tableaux de Julien des Monstiers donnent à voir une joie de peindre communicative, mais aussi une manière d’interroger les images qui nous submergent aujourd’hui. » Pierre Dubreuil Directeur général du Domaine national de Chambord

 

Exposition du 26 mai au 3 novembre 2024.

****BOTTICELLI :  DEUX MADONES A CHAMBORD

 

Trésor insoupçonné de l’église Saint-Félix de Champigny-en-Beauce, La Vierge et l’Enfant avec le jeune saint Jean-Baptiste, datée initialement du XIXe siècle, a récemment été authentifiée comme une œuvre originale du XVIe siècle issue de l’atelier du peintre italien Sandro Botticelli (1445-1510). L’œuvre sera présentée dans la chapelle du château de Chambord du 20 octobre 2024 au 19 janvier 2025 aux côtés de son modèle conservé au Palazzo Pitti à Florence, grâce au prêt exceptionnel de la Galerie des Offices.

Le tableau originel de Botticelli, présenté au sein de la Galerie des Offices de Florence (galerie Palatine) semble avoir été réalisé quinze ans avant celui conservé dans l’église Saint-Félix de Champigny-en-Beauce, dans le Loir-et-Cher. Ce dernier est longtemps passé inaperçu car considéré comme une copie du XIXe siècle. Le conservateur Matteo Gianeselli est le premier à attirer l’attention sur la toile de Champigny-en-Beauce lors de recherches menées sur les tableaux italiens conservés dans les collections publiques françaises. Il identifie l’oeuvre comme un original du XVIe siècle réalisé au sein de l’atelier florentin de Botticelli.

Sous la coordination de la DRAC Centre-Val de Loire, l’huile sur toile est restaurée au sein des ateliers du Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF) avant sa présentation dans l’exposition Botticelli, artiste et designer en 2021-2022 (Musée Jacquemart-André), aux côtés du prototype de Florence. La découverte de Matteo Gianeselli est ensuite confirmée par un examen critique d'historiens de l’art et par des analyses technico-scientifiques très poussées réalisées au sein du C2RMF sous la direction de Dominique Martos-Levif. Le 30 juin 2021, le tableau de Champigny est classé au titre des Monuments historiques.  

Une autre version de la Vierge et l’Enfant avec le jeune saint Jean-Baptiste a été exécutée dans l’atelier de Botticelli autour de 1500. Elle appartient aujourd’hui à la collection du Barber Institute of Fine Arts de Birmingham (Royaume-Uni).

Similaires tout en restant singulières, les deux toiles présentées dans la chapelle du château de Chambord témoignent de l’évolution des techniques de peinture, mais aussi du fonctionnement de l’atelier de Botticelli et de la manière dont les artistes florentins ont multiplié les représentations de la Sainte Famille. Le tableau de Champigny est ainsi très proche de celui de Florence mais avec une composition inversée, sans doute liée à la technique du calque, et une variation de l’arrière-plan (extérieur avec rosier, intérieur avec ombre).

La réunion des deux tableaux fait écho aux influences des artistes italiens dans le Val de Loire, parmi lesquels Léonard de Vinci, dont les travaux ont inspiré l’architecture de Chambord et son célèbre escalier à double révolution.(NDM)

 

Exposition du 20 octobre 2024 au 19 janvier 2025.

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CHARENTON-LE-PONT : 

ESPACE ART ET LIBERTE : Centre commercial La Coupole, 3 Place des Marseillais, 94220 Charenton-le-Pont. Tél : 01.46.76.48.97. Mardi/Vendredi : 13h/18h.  Samedi : 10h/12h et 13h/18h.

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CHÂTEAUDUN : 

CHÂTEAU : Place Jehan de Dunois, 28200 Châteaudun. Tél :  06 12 81 03 92

**** SUZANNE HUSKY : 

 

L'exposition, intitulée « Histoire des alliances avec le peuple castor », s’inscrit également dans le cadre du Printemps du Dessin. Elle fait aussi écho à l'Année du Castor, période de célébration et de sensibilisation entre le printemps 2025 et l'été 2025, qui célèbre le 50e anniversaire de la réintroduction de l'animal sur les bords de la Loire. 

Pour son exposition au château de Châteaudun, Suzanne Husky nous invite à reconsidérer le temps profond des rivières à travers l’histoire des alliances entre humains et castors. Mettant en avant la figure du castor, crucial pour la santé des cours d’eau en France, endommagés à 90%, l’artiste souligne son rôle inattendu en tant qu’allié face aux changements climatiques. Pendant huit millions d’années, les castors ont façonné les paysages aquatiques et les zones humides. Il fut vénéré, parfois déifié, on retrouve la trace de sa présence dans de nombreux lieux et cours d’eau de France. Progressivement, la géographie humaine prit la place de celle des castors, conduisant à leur quasi-disparition et à l’effondrement de tout un écosystème. Le château de Châteaudun se situe sur un territoire où les castors d’Europe, espèce protégée, se sont réinstallés durablement. Dominant les bords du Loir, le monument abrite également la deuxième plus importante collection de tapisseries anciennes en France, faisant écho à l’une des sources d’inspiration de Suzanne Husky : la tapisserie de Bayeux. Dans ce contexte, l’artiste travaille à la conception d’une tapisserie monumentale sur l’histoire géopolitique de l’alliance entre les castors et les humains. 

Une autre tapisserie de Suzanne Husky (« Bièvre, bâtisseur de mondes ») ainsi que des bâtons de castors et un castor naturalisé, seront présentés dans le parcours de visite afin de renforcer la dimension pédagogique de son travail en présentant l’écosystème dans lequel évolue le castor. À travers cette exposition, l’artiste souhaite sensibiliser à la nécessité de réintroduire les castors pour restaurer nos milieux naturels face au changement climatique. Elle perpétue l’histoire de la mise en scène esthétique du savoir scientifique en restaurant le castor à sa juste place et en encourageant une nouvelle alliance avec le vivant. Cette exposition est pensée en collaboration avec le philosophe et chercheur Baptiste Morizot, spécialiste des relations entre l’humain et le vivant, qui développe un manifeste en vingt points sur les urgences climatiques dans le catalogue de l’exposition".(NDM)

 

Exposition jusqu'au 3 novembre 2024.

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CHERBOURG :

LE POINT DU JOUR : 107 avenue de Paris, 50100 Cherbourg. Tél. 02 33 22 99 23. Mercredi/Vendredi : 14h/18h. Samedi, Dimanche : 11h/19h

 

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CLAMART :

CENTRE D'ART CONTEMPORAIN CHANOT : 33 rue Brissard 92140 Clamart. Tél : 0147 36 05 89. Mercredi, Vendredi, Samedi, et Dimanche : 14 h/18 h, sauf fériés. Entrée Gratuite.

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CLERMONT-FERRAND :

MUSEE BARGOIN : 45 rue Ballainvilliers, 63 Clermont-Ferrand. Tél : 04.43.76.25.50. Jusqu'au 6 juillet : Du mardi au samedi : 13h - 17h. Dimanche : 14h - 19h // À partir du 7 juillet : Du mardi au samedi : 10h - 12h / 13h - 17h. Dimanche : 14h - 19h. Fermeture les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre

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COMPIEGNE : 

MUSEE ANTOINE VIVENEL : 17 rue James de Rothschild, 60200 Compiègne. (Entrée côté parc Songeons). Mardi, Samedi, Dimanche : 10h/13h et 14h/18h. Mercredi, jeudi, vendredi : 14h/18h

**** OLA MIRECKA : SO GREEK ! 

 

" Lumière sur la collection de vases grecs d’Antoine Vivenel », organisée dans la salle dédiée du Centre Antoine Vivenel (CAV), met en lumière le fleuron des collections du musée Antoine Vivenel rassemblant la deuxième plus importante collection de vases grecs après celle du musée du Louvre. Adressée à tous les publics, celle-ci est programmée avec l’intention de rendre une partie de cette riche collection accessible dans l’attente de la réouverture, dans le parcours permanent du musée, de la salle des Antiquités méditerranéennes fermée pour rénovation. Immersive mais sans artifice, l’exposition fait la part belle aux dieux, héros et monstres visibles sur les vases : un voyage dans le temps guidé par la voix des peintres qui les ont exécutés avec talent et minutie. La scénographie, sensible et originale, nous invite dans l’univers de l’illustratrice Manon Mahdavi, qui a également réalisé un diorama en 3D du Banquet présenté à l’Office du tourisme en écho à l’exposition, ainsi qu’une illustration des Jeux d’Athènes. Ces derniers sont évoqués à travers la présentation des vases panathénaïques que le musée conserve. Ces amphores remplies d’huile provenant des oliviers sacrés d’Athéna étaient jadis remises aux vainqueurs. Elles sont ornées de scènes illustrant certaines épreuves représentées sur l’une des faces, l’autre face présentant Athéna, la déesse tutélaire de la cité. Au fil du parcours, le visiteur est plongé dans l’atmosphère du Banquet annonçant la présence du dieu Dionysos et reconstitué pour proposer une expérience plus immersive ; puis dans celui du demi-dieu Héraclès, le héros favori des potiers d’Athènes. Un peu plus loin, le voici invité à la découverte d’autres thèmes (le quotidien des Grecs, la guerre…) développés à travers les scènes peintes sur les vases, dont l’étude est actuellement renouvelée par une équipe de chercheurs de l’Institut National de l’Histoire de l’Art (INHA) objectivant la réactualisation des connaissances que nous en avons. Les résultats de leurs travaux seront présentés à l’occasion d’une journée d’études prévue en octobre 2024 et nourriront le nouveau catalogue en projet." (NDM)

 

Exposition du 15 juin au 29 décembre 2024.

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COLMAR : 

MUSEE UNTERLINDEN : Place Unterlinden 68000 Colmar. Tél : 03.89.20.15.50. Lundi/Mercredi : 9h/18h. Jeudi/dimanche : 9h/18h.Pemier jeudi du mois : 9h/20h. Fermé le mardi.

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CORBIGNY : 

ALTER EGO : Musée des mondes imaginaires : 7 rue de l'Anguison. Mardi/Samedi : 15h/19g. Vendredi : 9h/12h et 15h/19h.

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COSSE-LE-VIVIEN : 

MUSEE COMMUNAL ROBERT TATIN, Salle La Grange  : La Frénouse, 53230 Cossé-le-Vivien. Tél : 02.43.98.80.89. Du 1er avril au 30 septembre : TLJ. 10h/19h. Du 1er octobre au 31 mars : TLJ. 14h/18h.Fermeture le 25 décembre et tout le mois de janvier.

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CROIX : 

VILLA CAVROIS : 60 avenue du Président John Fitzgerald Kennedy 59170 Croix. Tél : 06.12.81.03.92.

**** FABRICE HYBER : "Humeurs"*

 

"Après avoir installé ses hommes verts dans le bassin du Domaine national du Palais Royal pour les trente ans de l’Homme de Bessines, Fabrice Hyber expose ses créations à la villa Cavrois. 35 hommes et femmes de Bessines occupent ainsi l’ensemble de l’espace du miroir d’eau. Ses POF (Prototype d’Objets en Fonctionnement) occupent quant à eux l’ensemble des salles de la villa. 

L’artiste imagine en parallèle un potager de 500 m² sur la parcelle en friche au fond du parc, pouvant être entretenu de façon pérenne après l’exposition, en poursuivant un objectif pédagogique. Présent depuis une vingtaine d’années sur la scène artistique internationale, Fabrice Hyber procède par accumulations, proliférations, hybridations et opère de constants glissements entre les domaines du dessin, de la peinture, de la sculpture, de l’installation, de la vidéo mais aussi de l’entreprise et du commerce.

À propos de Fabrice Hyber

 

Né en 1961 en Vendée, Fabrice Hyber intervient dans des domaines variés tels que le dessin, la peinture, la sculpture ou la vidéo. Attaché à la nature, à l’économie, au commerce et aux sciences, il a créé des systèmes autour de la production artistique avec les entreprises, des scientifiques et des laboratoires à travers le monde. Fabrice Hyber revendique un attachement aux mathématiques, aux sciences, mais également à la philosophie de Gilles Deleuze." (NDM)

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DEAUVILLE :

LES FRANCISCAINES : 145 bis avenue de la République, 14800 Deauville. Tél : 02.61.2.29.20. Mardi/Dimanche : 10h30/18h30.

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DICY :

LA FABULOSERIE : 1 rue des Canes, 89120 Dicy. Tél : 03.86.63.64.21. Ouverture du 1 avril au 2 novembre : Avril, mai, juin : Samedi, Dimanche et fériés / 13H30/18H.

Juillet/Août : TLJ. : 11h/19h.

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DIJON : 

MUSEE DES BEAUX-ARTS : Palais des ducs et des Etats de Bourgogne : CS73310 21033 Dijon. Tél : 03.80.74.52.09. Ouvert tous les jours sauf le mardi :

du 1er octobre au 31 mai : de 9h30 à 18h

du 1er juin au 30 septembre : de 10h à 18h30

Fermé les mardis, ainsi que les 1er janvier, 1er mai et 8 mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre, 25 décembre.

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DINARD : 

PALAIS DES ARTS ET DU FESTIVAL : 2 boulevard Wilson, 35800 Dinard. Tél : 02.99.46.50.63.

et VILLA DES ROCHES BRUNES: 1 allée des Douaniers, 35800 Dinard

DUNKERQUE : 

LIEU D'ART ET D'ACTION CONTEMPORAINE : LAAC : 302 avenue des Bordées, 59140 Dunkerque  Tél : 03.28.29.56.00. Mardi /Vendredi : 9h30/18h. Samedi et Dimanche : 10h/18h.

Fermé exceptionnellement : Le 1er janvier, le 1er novembre, 24 décembre après-midi, 25 décembre, 31 décembre après-midi. L'après-midi de Mardi Gras et le dimanche du Carnaval, 1er mai et 15 août.

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DUNKERQUE : 

FRAC GRAND LARGE HAUTS DE FRANCE : 503 avenue des Bancs de Flandres 59140 DUNKERQUE. Tél : 03.28.65.84.20. Mercredi/Vendredi : 14h/18h. Weekends (octobre/Mars) : 10h/18h.

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ECOUEN :

MUSEE NATIONAL DE LA RENAISSANCE : 94440 Château d'Ecouen. Tlj. sauf le mardi : 9h30/ 12h45 et d14h/ 17h45 (17h15 à partir du 01/10/13)

accès : par le train (SNCF) : gare du Nord banlieue : ligne H (voie 30 ou 31) 25 minutes direction Persan-Beaumont / Luzarches par Monsoult, arrêt gare d'Écouen- Ezanville, puis autobus 269, direction Garges-Sarcelles (5 min), Arrêt Mairie/Eglise (ou rejoindre le musée à pied depuis la gare (20 min) par la forêt) par la route : (à 19 km de Paris) autoroute A1 depuis la Porte de la Chapelle suivre Roissy CDG, sortie Goussainville / Cergy- Pontoise par la Francilienne (D104), direction Cergy- Pontoise, puis RD 316 (N16) en direction de Paris.

Tarifs : 7 €, TR 5,50 €. Gratuit pour les moins de 26 ans et pour tous le 1erdimanche du mois ainsi que le WE des journées du Patrimoine

 

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EPINAL :

MUSEE DE L'IMAGE : Cité de l'image, 42 quai de Dogneville, 88000 Epinal. Tél : 03.29.81.48.30.

Du 1er septembre au 30 juin : tous les jours 9h30-12h /14h-18h sauf lundi 14h-18h(fermé le matin), vendredi9h30-18h, dimanche et jours fériés (sauf lundi férié)10h-12h / 14h-18h

En juillet et août : tous les jours 10h-18h, sauf lundi 14h-18h (fermé le matin).

Fermeture exceptionnelle du Musée de l’Image les 25 décembre et 1er janvier.

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ESCOLIVES-SAINTE CAMILLE :

MUSEE PIERRE MERLIER : Moulin du Saulce, Chemin du Saulce, 89290 Escolives-Sainte-Camille. Tél : 06.75.12.87.04. TLJ. sauf mardi : 14h/19h. 

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FONTENOY :

CENTRE REGIONAL D'ART CONTEMPORAIN : Château du Tremblay, 89520 Fontenoy. Tél : 03.89.44.02.18. Fermé le lundi, sauf férié : 14h/19h.

****SABIEN WITTEMAN : Pensées

 

Exposition jusqu'au 31 octobre 2024

 

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GINALS : 

ABBAYE DE BEAULIEU-EN-ROUERGUE : 82330 Ginals Tél : 06.62.09.43.63. Juin/Septembre. TLJ. : 10h/18h.

**** TADAO CERN

 

« Dans le cadre du programme « Un artiste, un monument » et de la Saison de la Lituanie en France, le Centre des monuments nationaux, l’Institut culturel lituanien et l’Institut français invitent l’artiste lituanien Tadao Cern pour une création in situ à l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue. 

Tadao Cern, né en 1983, est un artiste lituanien qui vit et travaille actuellement à Vilnius, en Lituanie. Il est diplômé d’un master en architecture à la Vilnius Gediminas Technical University de Vilnius. En 2011, il décide de s’orienter vers une carrière de photographe. Ses photographies furent publiées dans le New York Times, The Guardian, The Atlantic, Le Monde, BILD, ELLE et d’autres publications de renom. Le succès de ces projets a donné lieu à des expositions dans le monde entier, notamment au Vang Gogh Museum d’Amsterdam et à la Saatchi Gallery de Londres. Tadao Cern a remporté de nombreux prix photographiques, ce qui lui a permis de créer des campagnes pour de nombreuses marques. " (NDLG)

 

Exposition jusqu’au 5 janvier 2025. 

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GIVERNY :

MUSEE DES IMPRESSIONNISMES : 99 rue Claude Monet, 27620 Giverny0 Tél : 02.32.51.94.65.

Ouvert du 28 mars au 2 novembre 2014 : TLJ. : 10h/18h. Ouvert les jours fériés. Gratuit le 1er mai.

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HAUTERIVES :

PALAIS IDEAL DU FACTEUR CHEVAL : 8 rue du Palais Idéal, 26390 Hauterives. Tél : 04.75.68.81.19. TLJ. : 9h30/18h30.

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HYERES : 

BANQUE MUSEE DES CULTURES ET DU PAYSAGE D'HYERES : 14 avenue Joseph Clotis, 83400 Hyères. Tél : 06.75.83.56.94. Mardi/Vendredi : 11h/19h. Samedi : 15h/19h. Dimanche : 10h/14h.

**** MIRO

 

Né à Barcelone en 1893, Joan Miró s’affirme comme une figure centrale de l’art du XXe siècle. Après un début de carrière marqué par des compositions cubistes et une adhésion au surréalisme dans les années 1920, son parcours artistique est animé par une quête incessante d’innovation, il explore une multitude de techniques et de supports, repoussant constamment les limites de l’expression artistique.

Cette exposition réunit plus de 73 œuvres, dont 23 sculptures, des peintures, des céramiques, des lithographies, des collages, des gravures, des gouaches, des fusains, des dessins à l’encre de Chine et des lavis, réalisées entre 1956 et 1977.

Fasciné par la poésie, Miró développe à partir des années 1960 un lyrisme vibrant où formes et couleurs explosent dans une épopée visuelle où tout devient signe et langage. Joan Miró amorce une phase décisive de son parcours artistique. Marquée par une rupture franche avec les conventions picturales traditionnelles, cette période voit l’éclosion d’un langage visuel unique et puissant, qui le propulsera au rang de maître incontesté de l’art moderne.

 

L’exposition Miró du Musée des Cultures et du Paysage d’Hyères invite le public à un voyage dans l’univers foisonnant et poétique de cet artiste visionnaire. À travers un parcours chronologique et thématique, l’exposition dévoile les multiples facettes de son génie et s’efforce d’offrir au public une meilleure compréhension de son processus créatif révolutionnaire". (NDM)

Exposition du 13 juillet au 24 novembre 2024.